Adieu, veau, vache, cochon, couvée…

Un correspondant internaute devait me faire passer deux documents très importants (pour moi), mais il vient de m’annoncer que son unique moyen de sauvegarde, un disque dur externe d’un petit paquet de Go, venait de rendre l’âme.
Résultat : outre mes deux fichiers, perte de la totalité des informations contenues sur le DDE, des années de boulot acharné. Et là, mon correspondant a les boules…

Bien sûr, il existe des boîtes qui font de la récupération de données ; mais c’est payant, et quand je m’étais renseigné sur les tarifs suite à un problème sur un zip de quelques dizaines de Mo il y a huit ans, j’avais trouvé ça bien cher (et en tous cas, trop cher pour moi). J’imagine que les tarifs ont baissé depuis, mais quand même…

La morale de cette histoire est qu’il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier : si on n’a qu’un seul système de sauvegarde, plus sa contenance est grande, plus la perte est grande elle aussi s’il tombe en rade…

Alors ouais, je sais que c’est une évidence : mais bien souvent, tant qu’on n’a pas soi-même subi ce genre de désagrément, on a tendance à l’oublier…

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