He knows, you know, but he’s got problems

Cet après-midi en comité de direction, je me suis demandé un moment si mon directeur n’était pas au courant de mes intentions de foutre le camp.

Après tout, il ne m’était pas vraiment possible de dissimuler mes intentions à mon équipe après avoir reçu des appels venant du poste que je convoite. Et même si j’ai bien insisté sur le fait qu’il n’y avait rien de fait, rien d’officiel, et que la hiérarchie n’était absolument pas au courant pour l’instant, il n’est pas impossible qu’il y ait eu des fuites.

Sans compter que mon potentiel futur directeur a peut-être lâché le morceau lui-même…

Mais d’une discussion que j’ai pu avoir avec une amie (qui me lira peut-être) après la réunion, je ne suis pas le seul à vouloir tout d’un coup quitter le navire.
Il semble que la « fin de règne » de mon directeur doive être bien moins brillante et bien plus difficile que ses débuts aux commandes.

Et plus ça va, et plus il me tarde d’avoir la réponse quant à mon éventuel nouveau poste.

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