Internet, c’est la ruine de l’industrie du disque

En général, je ne suis pas franchement d’accord avec cette affirmation. Ne serait ce que pasqu’internet m’a rendu accessibles des disques sur lesquels je n’aurais sans doute jamais pu mettre la main autrement, à moins de faire de multiples voyages vers des grandes villes où l’on trouve des disquaires spécialisés dans les vieilleries introuvables d’occase.

Mais j’ai quand même découvert un contre-exemple : celui du groupe de gothic metal français Markize, qui a mis son unique album en libre écoute sur son site.

L’unique critique dudit disque figurant sur l’Encyclopædia Metallum incitait déjà fortement à la méfiance ; mais je me méfie des critiques, surtout quand elles sont outrageusement marquées.

Toutefois, l’écoute des chansons de l’album n’a pu que confirmer ce que disait le critique (qui parlait à son sujet de chamberpot). Voici donc un disque que je n’achèterai pas, en dépit du battage que j’ai pu lire à son sujet sur un forum metal français sur lequel je traîne régulièrement.

C’est du sous Within Temptation (groupe qui est déjà pour moi dans la fourchette basse du genre, même si ses deux derniers albums marquent une sensible amélioration), qui en exacerbe les défauts sans en avoir les qualités.

Et c’est encore une nouvelle preuve de ce qu’une chanteuse agréable à regarder ne fait pas la qualité d’un groupe.

À fuir.

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