Gaminerie

Contrairement à ce que je craignais la semaine dernière, mon élément perturbateur n’est pas allé à la confrontation avec une de ses collègues : il a choisi plutôt de l’ignorer et de lui faire la gueule. Ce qui m’a certes évité de devoir pousser ma gueulante, mais est nettement moins intelligent que d’avoir une explication, même houleuse ; mais j’ai de sérieux doutes sur son intelligence, qui n’est en tous cas assurément pas corrélée à son niveau d’instruction.

En tous cas, ça nous donne des scènes savoureuses lors des pauses, comme ce midi où, alors que nous étions tous assis autour de la table en train de discuter, il s’était exilé devant un ordinateur sans prendre part à notre conversation.

Résultat des courses, non seulement c’est lui qui s’exclut lui-même de l’équipe (mais je doute qu’il l’ait déjà réalisé), mais en plus il passe vraiment pour un con aux yeux des autres (à commencer par les miens).
Et je peux vous assurer que la collègue visée par son comportement puéril (car l’immature en question a dépassé les trente ans pour l’état civil) s’en amuse beaucoup.
Et accessoirement, que la connerie humaine semble vraiment n’avoir aucune limite.

N’empêche que j’attends avec impatience le moment où il va demander sa mutation pour foutre le camp d’ici.
Espérons que ce soit pour bientôt et qu’il n’ait pas le temps de vraiment foutre la merde au sein de l’équipe.

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