C’est pas le paradis

Sur le papier, l’affiche est plutôt alléchante : on prend des anciens musicos de pointures du power metal (Stratovarius, Sonata Arctica et Helloween, entre autres), et on monte un tout nouveau groupe avec eux (en en profitant pour parler à son sujet de supergroupe, puisque ça colle à la définition et que tout de suite, ça en jette plus). En l’occurrence, ça s’appelle Symfonia, et ils ont sorti il y a peu un premier album, In Paradisum (en collant sur l’emballage un autocollant mentionnant les groupes dont sont originaires les membres, mais sans les citer le moins du monde dans le livret lui-même : ça s’appelle se faire une pub’ facile en profitant de la notoriété des autres).Alors certes, c’est pas mauvais. C’est même fort écoutable.
Mais ça n’a rien non plus qui sorte de l’ordinaire, c’est du power metal on ne peut plus classique et ça ne tient absolument pas la comparaison avec un bon Stratovarius.
Typiquement le genre de disques qu’on écoute quand on met la main dessus et qu’on ne ressort plus ensuite (à moins de faire partie de ces maniaques qui s’imposent de temps en temps une réécoute complète de leur ziquothèque pour se rafraîchir la mémoire auditive ; mais vu que j’ai commencé la mienne en septembre dernier et que je n’en suis péniblement arrivé qu’aux deux-tiers environ plus de sept mois plus tard, je doute de recommencer un jour ce genre de choses).

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