L’abnégation du collectionneur

À chaque fois que je tombe sur une critique de Glozel est Authentique ! sur internet, c’est pour y lire qu’il s’agit d’un fort mauvais scénario : la toute dernière (sur Grognardia) ne fait pas exception.
N’empêche que pour des raisons évidentes, ce machin manque désespérément à ma ludothèque (et la faute en incombe en grande partie à Casus Belli, qui n’en avait pas parlé à l’époque de sa sortie (1984)), et qu’il en faudrait plus pour me dissuader de chercher à me le procurer.
Et puis au moins, une fois que je l’aurai lu, je pourrai (le cas échéant ; car après tout, je pourrais aussi être déçu en bien, comme dirait un lecteur marcillois) exposer à la face du monde à quel point les précédentes critiques étaient en deçà de la triste réalité…

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3 réponses à L’abnégation du collectionneur

  1. Marcilly "c'est où" le Chatel dit :

    Rendons à Guillaume-Tell ce qui est à Guillaume-Tell : c’est une expression « Suisse romannnndeu »

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