L’été, ne bronzez pas bêtement

Et pour ça, voici deux solutions quand vous êtes étudiant : soit un recruteur potentiel vient spécialement vous démarcher pour vous proposer un boulot d’été car vous avez exactement le profil professionnel et psychologique pour un poste au sein de son équipe ; soit vous préférez passer une partie de l’été le nez dans vos cours et vous faites en sorte de devoir passer des examens de rattrapage en septembre.
Et quand le recruteur c’est moi et quand l’estivante et future consœur a choisi la seconde solution, ça me donne salement l’impression de passer à côté de quelque chose.
Évidemment, ce genre de problèmes ne se poserait pas si le personnel était un peu mieux géré chez nous, et si on incitait les gens qui donnent toute satisfaction à rester en poste, au lieu de leur donner le sentiment d’être sur un siège éjectable en instance de déclenchement (et accessoirement, si on faisait respecter les préavis en cas de démission).
Une chose est sûre en tous cas : même si j’arrive à recruter quelqu’un (qu’il faudra encore former, dans des conditions relativement acrobatiques), l’été sera chaud. Dès le 18 juin.
Quand je pense qu’il y a seulement une semaine, j’avais encore pléthore de personnel qualifié…

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