Rapparthon n° 8 : deux scénarios clé en mains (ou presque) sur Fascista

Voilà maintenant le scénario tant demandé, celui qui a déclenché le Rapparthon : un scénario qui se passe sur la planète Fascista, sur laquelle se bousculent les univers de Cyberpunk, Les divisions de l’ombre, Paranoia, Zone.
En fait, j’ai même l’intention de procéder à DEUX tirages : un comme demandé par Rappar dans son commentaire, « en ne tirant que dans [ces quatre] gammes » ; et un second élargissant l’éventail des possibilités à l’ensemble du genre cyberpunk.

C’est parti pour le premier tirage, à choix restreint : le D20 indique 17 : tromper (faire croire, trahir, mentir, tricher).

Premier tirage : European Entertainment, pour Les divisions de l’ombre, p 42 : Vladimir Kronskis.
Deuxième tirage : Chromebook, pour Cyberpunk, p 87 : Silverhand Studios.
Troisième tirage : And Now I Lay Me Down, pour Cyberpunk, p 25 : a houn’gan (prêtre vaudou).
Quatrième tirage : Deep Space, pour Cyberpunk, p 93 : some ‘tourists’.
Cinquième tirage : Chromebook 3, pour Cyberpunk, p 69 : cyberspace.
Sixième tirage : Immortality, pour Cyberpunk, p 1 : c’est la page de garde… disons an alternate reality adventure, extrait du sous-titre du supplément.

Résultat :
Vladimir Kronskis demande aux PJ d’aller dans une résidence de Silverhand Studios pour faire croire quelque chose à un houngan. Les PJ devront affronter des « touristes » dans le cyberespace. Un élément majeur du scénario sera une aventure en réalité alternée.

Est ce que Kronskis et le houngan participent au même jeu, et que le but des PJ est de faire croire quelque chose au houngan dans le cadre du jeu ?

Second tirage, à choix étendu. Le D20 indique 4 : survivre à (échapper à, fuir, s’évader de).

Premier tirage : Ex Machina, p 221 : ça tombe en plein sur une double page d’illustration… Je relance plutôt que de me creuser la tête à en tirer quelque chose : p 81 : a large criminal organisation.
Deuxième tirage : Shadowrun, première édition française, plan de Seattle : Seattle.
Troisième tirage : Spacecraft of the Solar System, pour Transhuman Space, p 32 : Peoples’ Liberation Army Navy Space Force (les forces spatiales de la Chine populaire).
Quatrième tirage : Cyberpunk 2020, V.F. p 77 : des Corporatifs pressés.
Cinquième tirage : Hardwired, pour Cyberpunk, p 49 : through Los Angeles to Honolulu to Tokyo.
Sixième tirage : High Frontier, pour Transhuman Space, p 140 : a big rotating space station.

Résultat :
Une organisation criminelle importante demande aux PJ d’aller à Seattle pour échapper aux forces spatiales de l’armée populaire de libération. Les PJ devront affronter des corporatifs pressés de Los Angeles à Tokyo via Honolulu. Un élément majeur du scénario sera une grande station spatiale en rotation.

C’est très cyberpunk (ou post-cyberpunk) pur tout ça, et à peu près utilisable dans un cadre sérieux (non que je ne prenne pas Fascista au sérieux, mais bon). Les PJ font partie de l’organisation criminelle importante et se trouvent déjà à Seattle. Pour une raison à déterminer selon la campagne en cours, les forces spatiales chinoises leur courent après, et pour leur échapper, ils fuient pour Los Angeles, Honolulu, puis Tokyo. Mais les militaires ne sont pas les seuls à leur en vouloir, puisqu’ils sont également poursuivis par des gens à la solde d’une multinationale. Et pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils ont (ou que leurs ennemis sont persuadés qu’ils ont) volé les plans d’une station orbitale que la multinationale va construire pour les forces spatiales chinoises. Et les gens de la multinationale sont particulièrement pressés parce que s’ils n’ont pas repris les plans aux PJ avant une certaine échéance, le contrat avec les militaires sera caduc.

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