Inconstance onirique

Je n’ai pas gardé beaucoup de souvenirs de mon rêve pendant ma sieste d’hier. Je me souviens néanmoins que, pour échapper à des soldats, qui avaient repéré la cachette dans laquelle mes camarades et moi nous trouvions grâce à un mouchard dissimulé dans un paquet de cigarettes neutre (comme quoi, le tabac, c’est vraiment nocif), j’avais escaladé à toute vitesse le battant de la double porte d’un édifice religieux pendant que les assaillants l’enfonçaient, battant qui mesurait au moins dix mètres de haut, avant de grimper sur le toit pentu et glissant du bâtiment. Le tout, sans la moindre hésitation ni difficulté.
Je n’ai pas gardé non plus beaucoup beaucoup de souvenirs de mon rêve de la nuit dernière. J’étais dans un grenier, une sorte de porte située sur la façade de la maison s’était ouverte quand j’avais poussé dessus, et je n’osais pas m’approcher de l’ouverture pour en refermer le volet, tétanisé que j’étais par la peur du vide.
Mais tout ceci ne me parait pas très cohérent.

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