Et pourquoi ne pas en faire un terrain de water-polo, tant qu’on y est ?

Tant qu’on parle de canicule, j’allais oublier de vous raconter qu’aujourd’hui en fin de matinée, à une heure où le thermomètre embarqué du Tonnerre mécanique indiquait déjà entre 30 et 31 °C, j’ai constaté que la pelouse du stade de rugby était en train de se faire copieusement arroser (automatiquement, évidemment).
Déjà, je trouve stupide de vouloir essayer de sauvegarder un semblant de verdure à cet endroit, quand on nous annonce une canicule prévue pour durer plus d’une semaine. Ça ne fait que retarder l’inévitable, tout en gaspillant de l’eau (aux frais du contribuable local, je présume) et en tirant abusivement sur la nappe phréatique. Mais procéder à l’arrosage en plein jour et sous une chaleur déjà accablante, au lieu de le faire au petit matin ou au crépuscule, voire la nuit (je n’ose pas employer l’expression à la fraîche, vue la température qu’il fait encore dehors à cette heure), c’est encore plus débile.

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