Gossip, not solid

Vous avez probablement déjà entendu parler de Robin D. Laws.
Je veux dire, pour autre chose que pour son humour hi-la-rant à propos de la tuerie de Charlie Hebdo.
Par exemple, pour être un créateur réputé dans le milieu rôludique, ayant entre autres choses à son actif un bouquin entier de conseils aux MJ.
On pourrait donc sur de telles bases présumer que si ce monsieur publie une campagne, celle-ci va tenir on ne peut mieux la route.

Eh bien, comme l’exprimait si élégamment Niska dans The Train Job, sa réputation, c’est des racontars, des on-dit, du vent.
Je suis en train de lire Ghosts in the Black, sa campagne pour Firefly RPG. Et franchement, pour l’instant, s’il y a un point où ce machin pèche, c’est clairement et avant tout l’implication des PJ. La campagne comporte cinq scénarios et je n’en suis qu’au deuxième, mais aucun groupe d’aventuriers du type des occupants du Serenity dont les joueurs ont ne serait ce qu’un minimum minime de jugeote ne s’engagerait dans l’un ou l’autre de ces deux premiers scénars. Rien, je dis bien RIEN, n’est fourni au MJ pour tenter d’impliquer les persos dans ces coups si manifestement foireux, autrement que de mettre en avant le fait qu’ils seraient bien payés pour ce faire.

Plus de détails dans une prochaine kro.

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