Steampunk, pour le grand public, ça n’a plus grand-chose à voir avec un sous-genre de la SF : c’est devenu une mode, qui consiste en gros à coller des engrenages et éventuellement une montre à gousset sur un costume d’inspiration vaguement victorienne (pasque quand le corset d’une cosplayeuse steampunk surmonte une micro-jupe à ras le bonbon, le côté victorien de son costume, il devient très lointain). J’ai toujours trouvé ça d’un ridicule achevé (même si les goûts et les couleurs, hein…) ; et cette chanson que je viens de découvrir l’exprime très bien :
Les paroles sont lisibles ici par exemple ; et la citation qui sert de titre au présent billet est de Jess Nevins.