Pas une bonne année pour la motoculture de plaisance

Après la motobineuse il y a huit jours (c’était bien la courroie, comme je le pensais, et je m’en suis tiré pour moins cher que ce que je craignais), c’est la tondeuse à gazon qui m’a lâché cet aprème, alors que j’attaquais la tonte du poulailler (par chance, j’avais donc pu faire le gros du terrain : il me reste ça et le devant de la maison).
Mais cette fois-ci, j’ai estimé que ça ne valait pas le coup de la faire réparer. Certes, elle n’a que huit ans (pas tout à fait, même), mais elle a déjà bien souffert, et il était sans doute plus rentable à long terme de la remplacer par une neuve que d’engager une nouvelle fois des frais dessus. J’ai donc décidé d’investir dans une machine neuve (et comme la dépense n’était pas prévue, c’est une partie substantielle de mon budget culturel du mois qui s’est retrouvée basculée sur cette autre ligne budgétaire).
Finie la frime avec ma tondeuse tunée toute dorée… Va maintenant falloir que je trouve un moment pour la porter à la déchetterie.

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