Mon pote de gauche

Même si mon sentiment devant le départ (certes incomplet…) de l’équipe sortante peut être résumé par « Bon débarras ! » (ce qui est certes un peu moins violent que ce que j’avais dit il y a cinq ans), je ne peux pas dire que l’identité des nouveaux dirigeants de l’entreprise France me réjouisse (et c’est même plutôt le contraire).
Le seul point positif lié au nouveau casting, c’est qu’il m’a permis d’entendre l’autre matin à la radio un ancien pote de lycée, perdu de vue il y a près de trente ans, se faire interviewer. Et de constater que lui au moins était resté de gauche.
Par les temps qui courent, c’est toujours ça.

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