Le prochain, je l’appelle Kevin

Se faire chier à trouver un prénom si rare que personne ne le connait, pour baptiser de façon inimitable un PNJ dans le supplément que tu es en train d’écrire.
Tomber tout à l’heure dans le journal local sur un article donnant son quart d’heure de gloire à quelqu’un du pays qui porte ledit prénom.
Ça, c’est fait.
(mes excuses aux éventuels Kevin parmi mes lecteurs)

Ce contenu a été publié dans JdR, Ma vie est un drame, avec comme mot(s)-clé(s) . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *