Kro machiavélique

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Pour l’hiver, Calcifer vous offre quelques instants moelleux.

007 Spectre de Sam Mendes
avec Daniel Craig, Christoph Waltz, Lea Seydoux, Ralph Fiennes et Monica Bellucci
Hunger game, La révolte partie 2 de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson

House of cards (version anglaise) de Andrew Davies avec Ian Richardson

Cats, Comédie musicale d’après des poèmes de T.S. Eliot

344427-1.jpg-r_160_240-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx-2015-11-30-22-55.jpg007 Spectre de Sam Mendes avec Daniel Craig, Christoph Waltz, Lea Seydoux, Ralph Fiennes et Monica Bellucci

D’outre tombe, M a encore une mission pour James Bond. C’est sur un ordre posthume qu’il part au Mexique à la poursuite d’un truand. De fil en aiguille, et en couchant en passant avec sa veuve, il va mettre au jour une organisation très secrète qui tire des ficelles depuis fort longtemps, des ficelles qui remontent d’ailleurs à son propre passé.

 

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Skyfall était formidable. 007 Spectre est plus classique pour un James Bond : un long teaser époustouflant pendant la fête des morts à Mexico (le meilleur moment du film ?), des James Bond girls, des bagarres, des méchants. Mais tout cela ne font pas vraiment un bon film, sans pour autant que ce soit un échec.

Léa Seydoux aurait pu faire une Jame Bond girl épatante, mais elle est bien fade (outre le fait que la différence d’âge fait vraiment bizarre. Bond est plus crédible quand il couche avec Monica Bellucci… même si elle ne fait pas grand chose d’autre que poser en porte jarretelle).
Le méchant n’est finalement pas très crédible. Son tueur a du potentiel, mais peu exploité et les révélation sur le passé de Bond n’ont aucun intérêt.

 

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Daniel Craig est bien, y’a rien à dire, mais peut être faut-il passer la main. 007 Spectre est loin derrière Skyfall, derrière Casino royal également. Je le mettrai au niveau de Quantum of Solace. C’est un bon moment, mais ce n’est pas un grand James Bond.

256927.jpg-r_160_240-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx-2015-11-30-22-55.jpgHunger game, La révolte partie 2 de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson

Dernier Opus, ce n’est pas le moment que je vous raconte l’histoire. Le dernier tome du livre tirait en longueur… c’est tout de même une drôle d’idée de faire 2 films à partir d’un livre trop long.

Honnêtement, La révolte, partie 1 s’en était très bien tiré. Celui somme toute, s’en titre bien aussi, même si on aurait pu économisé ¾ d’h de film.

Je reste convaincue que c’est une histoire étonnante, aux rebondissements inattendus, d’une profondeur peu courante pour un teenmovie. Une certaine amertume aussi, une vision désanchantée qui change également.

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Nous sommes à la fin du mandat de Margaret Thatcher à la tête du Parti Conservateur. Henry Coolingridge prend sa succession en tant que Premier Ministre. Dans son ombre, Francis Urquart a des idées sur la manière de diriger le pays et compte le faire à travers Coolingridge qu’il pense mou et malléable. Or, le Premier ministre a l’intention de suivre ses idées. Urquhart, appuyé par sa femme Elizabeth, va alors oeuvrer dans l’ombre pour prendre le pouvoir.

 

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Il faut s’accrocher pendant la première saison : on découvre des arcanes de la politique anglaise auxquelles nous ne sommes pas familiers. Ajoutons à cela un vocabulaire très soutenu… l’anglais sous-titré anglais est difficile à suivre.

Mais une fois le terrain débrouillé, on est effrayé de voir avancer Francis Urquart vers le pouvoir toujours plus grand, épaulé par sa femme, descendante de Lady Macbeth.

Bref, des saisons qui montent en puissance jusqu’au dernier épisode. Je n’ai pas vu la version américaine avec Kevin Spacey, Mais Ian Richardson est glaçant à souhait.

arton31566-31294-2015-11-30-22-55.jpgCats, Comédie musicale d’après des poèmes de T.S. Eliot

Contrairement à ce qu’on avait pu lire ça et là, Cats n’est pas pour la première fois en français, même si le texte a été retraduit pour cette nouvelle version. Nous avions déjà vu Cats en 1989 au Théâtre de Paris.

La mise en scène est très fidèle à la version d’origine, ainsi que les costumes, glam-rock, inspiré des années « Siouxie & the Banshee ».

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C’est aussi bien, enjoué, sautillant que la première fois. Je n’ai pas été convaincue par l’interprétation de Memory, mais Cats ne se résume pas à cette chanson star.

Chanter et danser non stop ou presque pendant reste une performance.

Même s’il ne chante pas, Mistophelees, le chat magicien est époustouflant.

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