MUSIQUE

Une fois n’est pas coutume :

MUSIQUE

Eh oui, voyez-vous, parfois, j’écoute aussi de la musique.
Pas souvent, enfin, pas souvent des trucs neufs, donc là, je vais vous donner ma compile musicale pour l’année passée.

Capitaines d’avril de Maria de Meideros

Monstre et Cie

Les morsures de l’aube, un film d’Antoine Decaunes avec Gérard Lanvin

Alors Lotin a découvert Cold play, comme son nom l’indique, du planant gentil, plutôt agréable.
Un peu dans le même genre, mais Lotinn’aime pas : Muse, même si en fait j’aime beaucoup 2 chansons et le reste, je le trouve juste gentil.
Par contre et à l’unanimité : Bénabar, rock français avec un accompagnement avec des cuivres, un truc entre Renaud et Les elles.
Ne manquez pas la chanson du gamin de cinq ans qui apprend à faire du vélo genre : Calvin (et Hobbes).
Et la chanson du trentenaire qui a décidé de faire la gueule parce que c’est son anniversaire.
Un texte très réussi, dans les chansons drôles comme dans les chansons tristes et un accompagnement vraiment sympa.

FILMS

Capitaines d’avril
de Maria de Meideros

Un film sur la révolution au Portugal (appelé aussi révolution des oeillets) pour virer Salazar.
Bon, c’est vrai que je ne connaissais absolument pas cet épisode de l’histoire, et ma foi, j’en connais pas bcp plus parce que ce film manque bcp bcp de rythme, de souffle, d’élan. C’est ou théâtrale ou mou.
Un film révolutionnaire qui manque de conviction, c’est quand même un peu dommage.
Bref, j’ai décroché.
C’est pas mauvais mauvais.
Mais faut être vraiment accroché par l’argument historique, parce que le film lui même n’accroche pas.

Monstre et Cie
Je suis allée le voir et j’ai oublié de vous en parler.
Incroyable que j’ai pu oublier ça.
Nous y sommes allés à 3.
Et je conseille de ne pas arriver en retard : le court metrage d’avant a fait autant rire Elise et ses parents que le film.
Ensuite, Monsters, c’est bien.
Le thème : les monstres vivent comme vous et moi dans leur ville. Tous les jours, ils vont au boulot, par exemple. Le boulot de Jack Sullivan et de son adjoint, Bob Rachowsky, c’est de faire peur aux petits enfants des hommes.
Parce que les cris des enfants fournissent l’énergie qui recharge les bateries de la ville des monstres. Mais bon, sinon, les enfants sont des êtres absolument effrayants, pour les monstres. Le pire qu’il puisse arriver, c’est que l’un d’entre eux passe une porte et entre au pays des monstres… Et ce que fait une toute petite fille à couettes qui n’a pas peur du tout de Jack Sullivan, puisqu’elle l’appelle « Minou ».
Et sinon : ALLEZ VOIR MONSTERS, c’est vachement bien de 4 à XXX ans

Les morsures de l’aube, un film d’Antoine Decaunes avec Gérard Lanvin
Notre héros vit la nuit, il squatte toutes les fêtes, il tchachte pour rentrer dans tous les clubs privéq et dort le jour dans un club de fitness (évidement, en éternel squatter, il ne peut pas se payer un appart).
Un beau jour, il force le passage dans une fête en disant qu’il vient de la part de Jordan, un nom qu’il a vaguement entendu une fois.
Or, le maitre de cérémonie a très très envie de voir Jordan.
Il lui propose un million pour le retrouver.
Il se trouve que Jordan a une soeur, plutot vénéneusen appellé Viol-Haine qui se prend un peu pour un vampire.
C’est donc un film de vampire (sans qu’on sache vraiment si ce sont des vampires ou des allumés qui se prennent pour des vampires, pendant longtemps). Un film qui montre les nuits parisiennes des gens riches accro à la nuit, un peu comme le film Jet set mais en plus décadent. C’est un film qui ne se prend pas au sérieux, avec des situations bizarres, des plans loose, ce genre de chose. Bref, c’est un film qui n’avait pas l’air attirant comme ça, mais qui finalement fait passer un bon moment avec quelques répliques sympas.

ET sur ce… bonne vacances

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« Ne vous moquez de M. Lepen, c’est un homme doté d’une grande capacité de concentration »
Desproges

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