Sommaire
Les Dragonneries ………….. p.1
L’âge de glace ……………… p.2
Bénabar en concert ……….. p.3
Les Dragonneries
Dragonnets Dragonnettes, Belges Belges, Mon chef, mon chien, Lecteurs chéris, mon Amour.
Cette chroniques est en avant première de la mise à jour du site du même nom sur www.dragonneries.fr.st à moins que ce soit une adresse tout à fait différente, mais là, je ne suis pas en ligne pour vérifier.
Tout cela pour dire que si vous avez des modifications / photos ou médisances à envoyer pour compléter les miennes, surtout, ne vous gênez pas.
Tout a commencé dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 2h du mat. Malgré les mises en garde du chef, rappelant aux Dragonnets qu’ils n’avaient plus 20 ans et qu’ils devaient choisir entre boire ou manger, veiller ou jouer, dormir ou boire (reprendre au début), nous fûmes accueillis par un Fifi éthylique jouant au tarot ce qui nous fit un choc. Lui qui se vantait d’être incapable de différencier l’excuse du dix qui prend, le voilà en train de taper le carton avec ses doigts boudinés car, comme dit le chef, le simple fait de taper de carton boudine les doigts, même quand on s’appelle Fifi.
Nous mettrons cet écart de conduite sous la responsabilité de l’alcool. A moins qu’il se soit dévoué pour que Taf, Farlen et Grall cessent de jouer au 8 américain.
Quels sont les événements majeurs de ces dragonneries ?
Les absents :
Comme toujours, nous devons déplorer la défection de certains membres plus ou moins éminents et plus ou moins regrettés.
Comme aucun des absents de cette année n’a été réellement regretté, il n’a pas été fait de procès (je rappelle que le procès du chef a eu lieu l’an dernier car il était absent. Il a été condamné à faire la cuisine cette année encore).
Donc, les absents :
Lionel qui s’est trompé de WE. Comme a dit Gilles en guise d’épitaphe en pensant à Tri : « Ca arrive même aux meilleurs »
Néanmoins, nous ne sommes pas dupes, c’est uniquement pour ne pas nous présenter Florence. Or, il a tort, parce qu’elle est très sympathique. Nous lui aurions rapidement montré la joie que nous avions de la rencontrer en nous remémorant en sa présence de nombreuses anecdotes relatives à Lionel et à des précédentes dragonneries.
Tri qui attend le peintre. Il a toutefois pensé à demander à Gilles la date des dragonneries 2 jours avant…
Roboduck qui n’a pas voulu nous présenter sa fille, alors que Corwin et Elise aurait été ravis de la dévisser pour trouver les piles de cet étonnant jouet interactif.
Borel, PDP et Marcel Pendart, perdus corps et biens.
La grolle et les courgettes qui n’ont pas daigné faire leur apparition. C’est sûrement la faute de Fifi.
Présent, mais de manière quantique :
Jean-Loup : on sait quand il est là ou à quel emplacement il va se trouver sans toutefois pouvoir observer les 2 phénomènes simultanément.
Les présentes :
Comme toujours, nous devons déplorer la présence de certains membres plus ou moins éminents et plus ou moins regrettés.
Laurence apportés par les Pounets à la place de Lionel. Après de nombreuses années, ils font enfin preuve de goût en ramenant des filles plutôt que des ours. Comme quoi, le féminisme, ça a quand même du bon.
Véro ramenée par Kali qui elle, par contre, préfère s’absenter, dès fois que Véro pense à un traquenard.
Véro, ramenée par Taf qui ne fait pas preuve d’originalité dans le choix des prénoms. Elle est très sympathique. Nous lui avons rapidement montré la joie que nous avions de la rencontrer en nous remémorant en sa présence de nombreuses anecdotes relatives à Taf et à des précédentes dragonneries.
Marie-Noëlle ramenée par Seb. C’est l’alibi du chef (avec la complicité de son fils) pour prétendre que les dragonneries sont internationales.
Grâce à cet important apport de filles, le chef n’aura pas à payer l’amende de la parité, mais quand même, comme dirait Jean-Marie, c’est à cause de ça qu’on a perdu les législatives. Mais pouf pouf, je m’égare.
Les événements marquants de ces dragonneries :
Cette année, nous avons parqué des moutons dans des enclos, joué à Donjons et Dragons Grosbill (mais en jeu de cartes), pourchasser les loups-garou à Tiercelieux, installé la cour dans un château et malheureusement, joué au tarot avec des doigts boudinés, mais tant qu’on aura pas pendu le dernier atout avec les tripes du dernier cavalier, on n’y échappera pas.
Les gens arrivent en train à nombreuses heures différentes à Bourgoin. Quand par hasard, deux arrivent à la même heure, l’un est à Bourgoin et l’autre à La tour. Pounette propose de faire un seul charter de ramassage vers 20h30.
Pounette et Dom vont chercher Mael’ à la gare avec la voiture de Taf. Dom, qui veut tester l’Opel de Taf, néglige la route et préfère tester les champs, les murets, le dos des vaches, des marais, les sous-bois et les rails du train, car c’est le meilleur moyen de trouver la gare. Elise a remarqué qu’il y a le signe d’Harry Potter sur la voiture.
Le chef a acheté une paire de yaourts mâles pour son frigo, mais à l’instar des souris blanches, le sexe du yaourt est difficile à établir. Ils sont donc reproduits à grande vitesse, repoussant l’élevage de bière dans ses derniers retranchements.
Fifi a tenté de dégoûter Marie-Noëlle du Jeu de Rôle mais c’est finalement Pounette qui y est parvenue.
Pounette a été nommée FOC, ce qui n’a rien à voir avec Xavier, Fayot Officiel du Chef, puisque ça signifie : Fouetteuse Officielle du Chef (quand je vous disais que le féminisme avait du bon).
Franck a pris le chef pour son doudou. Il l’a même mâchouillé devant témoin. Nous regrettons toutefois qu’il ne lui ait pas sucé les oreilles.
Seb s’épile le torse à la cire, c’est pour cela qu’il n’a pas de poils. C’est malin, maintenant, il est obligé de mettre ses chaussettes d’une seule main.
Marie-Noëlle aime la Zubrovska, elle trouve cela frais et rafraîchissant (grand merci à Franck pour les 2 bouteilles).
Une nouvelle forme animale a été découverte à Hurlements : le Raton-Clouteur.
D’ailleurs, Laurence a fait sa première partie de jeu de rôle. Elle a soufflé dans des boyaux de porcs toute la soirée. Elle pourra également expliquer à Lionel les tenants et aboutissants du scénar qu’il a si joliement enfoncé dans la boue la dernière fois qu’il a joué.
Pour avoir une part de crumble, il faut ramener son assiette au lave-vaisselle.
Aux dragonneries, il faut faire des plats sans : melon, concombre, tomates, vinaigre, courgette, pamplemousse, agneau, glace vanille-pistache-café-praliné-fraise.
Il a fait beau (même le dragonnet courbe l’oreille, quelle chaleur).
Anne-Claire dessine des groupes de gens à table en train de boire des bières. Bientôt, elle va suspendre des vestes à des portes-manteau.
Il y a toujours 2 assiettes de plus que ce qu’on a patiemment dénombré ou 3 assiettes de moins que ce qu’on a patiemment décompter.
Nous avons le choix entre se faire réveiller le matin par : le corbeau qui tape au velux, le coq survolté qui démarre quand les joueurs de tarot vont se coucher, le ouin-ouin qui drague les poules faisanes, l’enfant (Corwin, Roxane ou Elise) ou le chef et sa corne de brume (certes, bien plus tard).
Le sacrifice a eu lieu après les dragonneries : il s’agit du coq cité plus haut qui décéda le mardi. Depuis, il pleut.
Grâce à l’arrivée du numérique, il y a des photos de tout cela.
J’ai récupéré un jeu de cartes appartenant à Franck (Gother than you) et deux dés dix de Mael. Ils seront rendus contre rançon.
Film : L’âge de glace
Dernier produit de synthèse de la Fox : à l’ère glacière, des animaux volontiers délirants migrent vers le sud.
Or, voilà qu’un mammouth et un paresseux sauvent un bébé poursuivi par des tigres à dents de sabre.
Le gros point positif, c’est la touche qu’on les animaux. On ne manque pas de bestioles idiotes ou dessinées de façon idiote. Les tapirs, la musaraigne à dents, les dodos, ratons-clouteurs…
Il y a un passage lent, peu après le début pas très drôle, pas désagréable mais un peu plat, mais ça redémarre dans la deuxième partie pour être cette fois vraiment drôle et très bien.
Par contre, 4 ans 1/2, c’est trop jeune, trop de gags ne passant qu’à l’oral ou demandant des références « préhistoriques ». Mais au moins pour les bestioles et un certain nombre de « quote » ça vaut vraiment le coup.
Concert de Bénabar à La Roche sur Yon
14h : il pleut pratiquement sans discontinuer depuis le matin. Le concert est en plein air. Je téléphone à l’office du tourisme de La Roche qui me dit que même si seuls les musiciens sont abrités (et pas les spectateurs), le concert aura lieu quelque soit le temps.
16h30 : on part à La Roche voir L’âge de glace. Entre 2 éclaircies de 5 min, il pleut pendant une demi-heure. On prend des pulls, des impers et des parapluies.
19h30 : on se gare à côté du parc où il doit y avoir le concert. Il ne pleut pas mais c’est juste.
On va dans un bar en face grignoter une salade. Le bar contient de nombreux futurs spectateurs en cirés jaunes. Le patron se demande si le concert aura lieu.
Pendant une heure environ, on scrute les nuages, il pleut un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout.
20h30 : le régisseur entre dans le bar nous annonçant que le concert aura lieu malgré tout. Il repart sous les applaudissements des fans en ciré.
20h45 : A peine le régisseur est reparti, la pluie redouble, ça martèle sérieusement sur la terrasse. Il retraverse finalement pour nous dire qu’il jette l’éponge, ne serait-ce que pour des questions de sécurité : le concert est annulé.
Nous nous tournons alors vers Laurence qui est avec nous. Pour la deuxième fois, il pleut alors que nous allons voir un concert en extérieur avec elle. C’est un signe.
21h : Le bar passe le disque de Bénabar. On se dit que ça sonne un peu comme dans la voiture.
21h30 : On traverse le parc pour aller à la voiture. Il fait presque beau. Le régisseur s’arrache les cheveux. On croise Bénabar qui va se mettre à l’abri (sait-on jamais) au bar d’où on vient. C’est marrant pour un « petit trentenaire », il doit faire 25 ans. N’empêche, il ne pleut plus depuis l’annonce de l’annulation du concert, aurait-on annulé pour rien ?
22h : sur la route de St Gilles, on essuie une averse magistrale, à notre plus grand soulagement.
J’aurai bien aimé vous faire baver en vous racontant le concert, mais tant pis, on remettra ça en novembre à Suresnes.