Quand vous étiez petit-e, vous jouiez à Pipe Dream ? Moi, quand j’étais dans un hôtel de zone industrielle à Dijon, pour faire une formation (ahahh, folle jeunessssse), je passais du temps à faire des circuits de plomberie.
Maintenant, j’ai un jardin, des plantes, du soleil… il faut donc arroser. En vrai, ça m’amuse beaucoup moins. En revanche, Lotin, ça lui plait bien. Il est aller chez Gardena et…
D’abord, un pluviomètre, parce que arroser sous la pluie, c’est nul. Plus un détecteur d’humidité dans le sol.
Ensuite, on part du robinet, avec une un programmateur d’arrosage, qui programme : tous les jours 1h, tous les 2 jours, 1/4 d’h, seulement la nuit, uniquement s’il neige demain, etc.
Puis du tuyau et un compteur d’eau, histoire de savoir combien ça consomme :
Ensuite, une centrale d’irrigation qui gère la pression : quelque soit la pression en entrée, il sort toujours 1,5 bar.
Puis, un diffuseur d’engrais avec purge, qui permet de nourrir tout le monde en même temps.
Puis, grâce à un mélange subtil de goutte-à-goutte et d’asperseurs…
Tout le jardin est irrigué.
Moralité, les plantes sont contentes. Par exemple les iris :
Je n’avais jamais vu d’iris de cette teinte.
Le thym fait des fleurs :
Quant au rosier, la coupe était plutôt pas mal (sauf sur un, j’ai pas osé tailler assez).
Voici le premier rosier à s’ouvrir
Et le deuxième qui démarre :
Et pour de belles roses :
La bouillie bordelaise : chaux + sulfate de cuivre…
Les plantes et en particulier les rosiers étaient toute mangés et là, ça va beaucoup mieux dès la première aspersion préventive de printemps.
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