Terminator Genisys de Alan Taylor avec Arnold Schwarzenegger, Jason Clarke, Emilia Clarke
Tales of tale de Matteo Garrone avec Salma Hayek, Vincent Cassel, Toby Jones
Le combat ordinaire de Laurent Tuel avec Nicolas Duvauchelle, Maud Wyler
Terminator Genisys de Alan Taylor avec Arnold Schwarzenegger, Jason Clarke, Emilia Clarke Le leader de la résistance John Connor envoie le sergent Kyle Reese dans le passé pour protéger sa mère, Sarah Connor et préserver l’avenir de l’humanité des machines tueuses. timberland femme Ce bref résumé, piqué sur Allociné, peut correspondre à Terminator 1. bottes ugg Et si vous remplacez Sarah par John, le résumé colle aussi pour le 2 et le 3. Tout ça pour vous dire qu’on est pas dans une imagination débridée qui renouvelle tout. En plus, comme Hollywood est avide de suite de suite de suite, la géniale idée permettant de tout reprendre indéfiniment et de faire un paradoxe temporelle qui ouvre vers un nouveau futur et paf, on reboot l’histoire et on recommence ad lib. Technique expérimentée dans X-men. puma chaussure 2018
C’est donc ce qui se passe dans ce T5. chaussure timberland Heureusement, d’ailleurs, c’est ce qui donne un peu de surprise et de fantaisie à l’affaire. L’autre intérêt, c’est que l’histoire est très cohérente avec les autres et en particulier avec le 1. On revoit la scène d’arrivée du T-800 à l’identique, c’est assez sympa. En outre, le scénariste a trouvé une idée plausible pour expliquer pourquoi le T-800 a vieilli (Rapport que Schwarzy a 70 ans.) Pas mal de combats et de poursuites, bref, un peu comme un film de Terminator. Bref, un film de nostalgie de la SF des années 80, de facture sympathique. ugg outlet Emilia Clarke est parfaite en Sarah Connor
Tales of tale de Matteo Garrone avec Salma Hayek, Vincent Cassel, Toby Jones
C’est un film de contes avec trois récits imbriqués.
Une Reine obsédé à l’idée d’avoir un enfant et prête à tout pour l’avoir et ensuite le garder près de lui.
Deux vieilles recluses, un roi qui saute sur tout ce qui bouge. Voilà que le roi entend la voix d’une des deux vieilles et tente de la séduire à travers la porte de sa maison, la prenant pour une jeune pucelle timide.
Un roi un peu bizarre qui vit seule dans un château isolé avec sa fille. Il se met à élever en secret une puce comme animal de compagnie au point qu’elle devient grosse comme un doberman.
L’unité de ce film ne se tient pas tellement par les histoires : les 3 se déroulent en parallèle et ne se rejoignent pas. Elle tient aux costumes somptueux, au décor magnifique et à la curieuse ambiance qui se dégage les trois châteaux et des trois cours. doudoune femme moncler De la pierre, assez peu de personnes dans ces grands décor, assez peu de chaleur et une troupe de comédiens qui vont et viennent.
C’est un film lent avec des histoires qui sont de vrais contes, pour ce qu’ils ont de cruels et de magiques, avec des grandes figures et des thèmes archétypiques.
On peut trouver ça ennuyeux. Des spectatrices qui étaient derrière moi et qui gloussaient sur les pubs sont sorties en disant qu’elles n’avaient rien compris. Peut-être est-ce un film de contes pour intellos. En tout cas, sur moi, le charme a marché.
Le combat ordinaire de Laurent Tuel avec Nicolas Duvauchelle et Maud Wyler
C’est l’histoire de Marco, photographe de guerre qui ne veut plus faire de photos de guerre. Il part avec son chat s’installer à la campagne. Marco est timide, en proie aux crises d’angoisse, un peu inadapté aux relations sociales, pas mal terrifié par les responsabilités. A partir de petites choses, de petits combats et de rencontres, il va réussir à avancer dans sa vie.
Le combat ordinaire est tiré de la BD de Manu Larcenet. Le film est très fidèle à l’histoire et aussi (et c’était pas gagné) à l’esthétique de la BD. Les photos prises par Marco et les plans du film sont très beaux.
Après, c’est un film qui manque de rythme, avec un montage un peu haché et des acteurs de seconds rôles qui parfois jouent faux. C’est un film qui passe également totalement à côté des notes d’humour de Larcenet. Les répliques « pince sans rire » de la BD sonnent graves dans le film qui, globalement, est grave.
Au bilan, ce n’est donc pas tellement une réussite.