Kro de fin de vacances, avant les prochaines

Étant en manque d’océan, je me suis fait vite fait un petit « 8 jours à la mer ». Malheureusement demain, retour au travail (signature de PV d’examen, ce genre…). Mais je reviendrai.

À noter tout de même un curieux phénomène qui n’a pas manqué d’échapper à FD, et qui explique pourquoi la plage était si vide tout à l’heure…

Au menu :

La souris de voyage de Microsoft

Film : La bonne épouse par Martin Provost avec Juliette Binoche, Yolande Moreau et Noémie Lvovsky

La Belle Poule

La souris de voyage de Microsoft

J’avais besoin d’une souris de voyage pratique. Je suis globalement déçu des souris optique que j’ai pu tester (la surface ne semble jamais convenir). J’avais besoin de quelque chose de petit, où je ne perde pas les morceaux (comme un émetteur usb). Cette souris, recommandée par Lotin avait quand même pas mal de gueule…

À gauche, en position éteinte, toute plate. Une fois cassée en deux, elle tient parfaitement en main (j’ai des petites mains). Elle glisse très bien et très précisément sur la table.

En ce qui concerne le défilement, la prise en main n’est pas immédiate et reste parfois un peu saccadée. Pour moi, de toute façon, rien n’égale la grosse trackball de Logitech (mais ce n’est pas tellement pour le voyage…). Bref, je l’aime bien, je trouve le design et l’ergonomie très chouette. (À l’arrière-plan de la photo, le petit train de Gilles. Je vous dis ça parce qu’il vient de repasser…)

La bonne épouse par Martin Provost avec Juliette Binoche, Yolande Moreau et Noémie Lvovsky

La bonne épouse est un film qui s’est pris un grand coup de confinement dans les dents. Sorti juste avant la fermeture des cinémas, il vient donc de re-sortir avec la réouverture.

Nous sommes à l’aube de mai 68. À la radio on entend que ça s’énerve à Nanterre. Mennie Grégoire y parle du plaisir féminin. Mais au fin fond de l’Alsace, dans cette école privée, on vous apprend à être une ménagère soumise et dévouée. Mais 2 événements vont ébranler les certitudes de la directrice: au décès soudain de son mari, elle découvre qu’il jouait aux courses et a totalement endetté l’école. Et en même temps, elle retrouve son amour de jeunesse, jamais revu depuis la guerre les a séparés…

Honnêtement, ce film a tout pour être sympa. Les actrices sont super, le sujet ne peut qu’attirer mon attention, mais il y a quelque chose qui ne fonctionne pas. Une histoire assez attendue, un manque de rythme, ou peut être un rythme trop classique ?

D’excellents moments : les gamines de l’école écoutent Ménie Grégoire parler du clitoris. L’une d’elles, un peu plus délurée, sort un petit miroir et dit qu’elle a déjà vu le sien. Une autre, un peu en panique, dit : « moi, j’en ai pas, je veux pas d’histoire ».

Finalement, ce n’était peut-être pas un bon film de reprise de cinéma, plus un bon film de télé…

La belle Poule

(pour l’image, les fans du Génie des alpages comprendront).

La Belle Poule est une goélette à hunier, appelée aussi goélette paimpolaise. Elle a été construite en 1932 à Fécamp, dans la Seine-Maritime. C’est une réplique des goélettes de Paimpol qui pêchaient la morue au large de l’Islande.


Elle a participé à la Seconde Guerre mondiale dans les Forces navales françaises libres arbore légitimement le pavillon de beaupré à la croix de Lorraine des FNFL.
Toujours en service, elle sert actuellement à l’entraînement des futurs chefs du quart passerelle. Merci Wikipedia.

La Belle Poule était vendredi dernier dans le port des Sables-d’Olonne.

Comme vous pouvez le voir, ce jour-là, il faisait beau. Il a plu tout samedi et elle est repartie dimanche.

Ce contenu a été publié dans Films, Pelleteuses, vêtements et inclassables, Tourisme, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.