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Hellboy

Kill Bill II avec Umma Thurman

Salon Nature et Jardin à Rueil-Malmaison

Théâtre : les hommes me gonflent (pas tous) d’Emmanuelle Barbaras

Hellboy

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Encore un film réalisé d’après un comic. Hellboy, rejeton de l’enfer élevé par un brave homme qui a décidé de faire de ce démon un gentil. Hellboy se coupe les cornes pour avoir l’air comme tout le monde. Seulement, quand on est rouge, qu’on a une queue, qu’on mesure plus de 2m, c’est pas un coup de lime qui va suffire.

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Hellboy réalise une espèce de tambouille entre le mythe de Cthulhu, l’occulte version Raspoutine, les nazis mystiques, le steam-punk, les pouvoirs psy et les super héros à gros flingues. Or, à la surprise générale, ça fonctionne. J’ai vu une des repésentations de Cthulhu les plus réussis (parce que dire qu’il est indicible, au cinéma, ça reste limité, comme effet). Il y a de l’humour, une histoire… Le personnage de Hellboy est bien rendu. C’est pas un grand film, mais c’est une bonne surprise et un bon moment.

Kill Bill II

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Comme son nom l’indique, c’est la suite de Kill Bill I.
La mariée poursuit sa vengeance et cherche maintenant à tuer Bill, cf. le titre pour les 2-3 distraits qui n’auraient pas suivi.
Cet opus est très différents du précédent. Le précédent envoyait du sang par bassine complète à droite et à gauche. Celui-là est plutôt bavard.
Certes, il est extrèmement bien filmé, comme le précédent, mais autant j’ai trouvé le I exagéré et rigolo dans l’exagération, autant j’ai trouvé celui-là longuet. Les dialogues ne m’ont pas spécialement amusés. Bref, je suis déçue par la suite.

Salon Nature et Jardin à Rueil-Malmaison

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Pour tout dire, j’y suis allée uniquement parce qu’il y avait démonstration de rapaces et que ça intéressait Leirnette.
Et finalement, c’était super. Si je vous en parle, c’est parce que j’y ai décourvert un stand de graines tropicales.
J’ai découvert des cosses de haricots aussi hautes que moi, avec des haricots qui ressemblent à des galets de bois poli.
Des graines de toutes sortes, de toutes formes et de toutes tailles.
Malheureusement, ce vendeur de graines n’est pas un vrai vendeur de graines. C’est un botaniste qui court en brousse la plupart du temps et qui vend des graines sur des stands, pour financer sa prochaine virée. Je n’avais pas mon appareil photo pour vous montrer les graines en question, alors, j’ai mis une petite image. Mais c’était fantastique de les voir et de les toucher.

Théâtre : les hommes me gonflent (pas tous) d’Emmanuelle Barbaras
Critique dispo ici : http://www.chiennesdegarde.org/article.php3?id_article=346
Pas impérissable, un peu brouillon parfois, parfois on se demande où ça va, mais parfois on rit aussi. La malice de l’interprête emporte l’ensemble.

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