La cohabitation, c’est un vrai problème.
Alors, voilà, je vous explique… RV se lève au premier chant du coq. Moi je me lève avec le jour. Ou avec la voisine qui prend sa douche à 7h du mat, même le samedi et qu’on a l’impression de dormir sous un vélux sur lequel il pleut.
AC dormirait volontiers jusqu’à 11h…
Oranges pressées le matin, c’est une vraie notion du luxe. Zonage toute la matinée, repas salade avec fraises en dessert. Il y avait une sorte de contentieux sur la fraise entre RV et moi… mais maintenant que j’y repense je ne suis pas sûre qu’on soit quitte : moi, j’avais épluché 500g et là, y’en avait que 250, à mon avis… Mais bon, je dis rien parce que sur l’orange pressée, il a bon.
En fin d’après-midi, un peu de tourisme dans St Jean, à la recherche de magasins improbables. Visite un peu décevante… il y a de plus en plus de bars et de moins en moins de magasins de trucs originaux.
Toutefois, on trouve un magasin d’ardoises :
Le mystérieux institut de Clavologie est toujours rue du boeuf :
Le soir, nous nous sommes retrouvées chez Léti, point de départ de toutes les aventures. Nous étions décidé à aller dans un bar appelé « de l’autre côté du pont » pour voir un concert.
Nous avons d’abord embarqué Karine, pour une fois descendue de sa montagne pour aller dans un restau chinois.
Cet épisode a pris plus de temps que prévu. Comme il manquait quelqu’un en cuisine et que le cuisinier venait d’apprendre que sa mère était en stade terminal (quelque chose comme ça, nous a-t-on raconté), le service était plutôt lent.
Quand nous sommes finalement arrivés au bar, le concert en était à ses rappels. Ca avait sympa… mais 2 chansons, c’est court.
Si ces entre-faits, Maud nous a convaincus de monter à la fourmi rouge, un bar associatif tenu par des copains pas loin… presque en bas des pentes…
Ne jamais croire Maud quand elle vous dit qu’un bar est presque en bas des pentes, alors qu’il est à une centaine de mètres du Plateau !
Heureusement, Léti qui s’était défoncée un orteil dans un pied de lit nous a montés en voiture.
Maud en pleine forme, nous apprend qu’elle est au porto depuis l’apéro. Le bar est effectivement plutôt cool. J’apprends à Karine l’existence de la Caïpiriña. Je lui apprends à prononcer le mot aussi.
Un des événements notables de la soirée, c’est Seb qui bouscule le verre de Bellays d’AC et AC qui en le rattrappant, en renverse la presque totalité sur Seb. Ben, le Bellays, ça colle. C’est pour ça que je bois de la Caïpiriña. Et que je renverse pas.
S’il n’y a pas de photos de cette soirée mémorable, c’est parce que les gens à qui j’avais prété mon appareil ont eu tendance à mettre au point sur les verres plutôt que sur les gens ou à sauter sur place en prenant la photo.
Ensuite, nous sommes montés chez Karine (ouais, c’est tout près, juste de l’autre côté du Plateau… une future copine de Maud, je dis).
On a fini semi-somnolent… Ya rien à boire chez Karine, à par une potion médicinale noire pleine de feuille. C’était prometteur, mais malheureusement, c’était surtout vide.
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