Dans le Golfe du Morbihan, il y a des coins réellement paradisiaque. En tête : Saint Cado.
La petite île de Saint-Cado est reliée à la terre par un pont en pierre. C’est un de ces multiples “Pont du Diable”, supposé avoir été construire en une nuit en échange d’une âme. Au matin, comme dans toutes les histoires du genre, Saint Cado a lâché un chat sur le pont pour que le Diable le prenne.
Elle offre un joli point de vue sur la ria d’Etel.
On peut découvrir une chapelle romane au portail du XVIe siècle ainsi que son calvaire (1832). Sa petite fontaine (XVIIIe), en contrebas, est régulièrement submergée par la marée.
C’est plein d’oiseaux.
La barre d’Etel
C’est un phénomène naturel qui doit son nom à un banc de sable sous-marin situé dans le prolongement des dunes de Plouhinec-Erdeven.
La barre d’Etel se forme à marée montante ou descendante, disparaît à marée haute et assèche jusqu’à 2 mètres à marée basse.
Le banc de sable qui la provoque, se déplace au grè des vents et des courants.
La mer qui se brise sur toute la longueur de l’embouchure rend la barre infranchissable à certaines marées, quand le vent souffle du large.
Nous y étions à marée haute. La barre était peu visible et les bateaux pouvait entrer.
Le sémaphore est tenu par Josiane Péné – Elle veille 3h avant la pleine mer et 2h après.
Ici, vous voyez que le sémaphore, avec sa flèche vers le haut vous dit que vous pouvez passer.
Alors que ceci :
De plus :
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