1961 : indépendance de l’Algérie, arrivée des Pieds-noirs en France et juste après, un des hivers les plus froids du siècle, l’hiver 1962. Il fallait vraiment espérer que les gens du nord aient dans le coeur le soleil qu’ils n’ont pas dehors, parce que côté accueil, la météo n’était pas spécialement chaleureuse.
2009 : Indépendance des universités, arrivée à Genève d’une chercheuse en quête de poste et juste après, un des hivers les plus froids du siècle (je me mouille pas, ça ne fait que 10 ans). Moi, je dis : l’histoire familiale se répète. Heureusement que les Genevois ont dans le coeur le soleil qu’ils ont aussi dehors, parce que faut pas déconner, le printemps va bien finir par arriver.
Pièce montée par Denys Granier Deferre
Série : Torchwood
Pièce montée par Denys Granier Deferre, avec Clémence Poésy, Vincent Renier, Danielle Darrieux, Jean-Pierre Marielle, Charlotte de Turkheim, Dominique Lavanant
Bérangère et Vincent, issus de deux riches familles bordelaises se marient dans une petite église de campagne, choisie à l’initiative de la grand-mère. Dans toute cette préparation, on sent quand même l’atmosphère un peu tendu, par exemple parce que la mère du marié déteste la mariée, mais aussi parce que la Grand-mère a visiblement quelque chose à voir avec le prêtre… Et aussi que certains couples présents ont bien l’air de se détester. Tous les éléments sont mélangés pour une soirée qui va tourner au désastre.
L’ensemble du mariage vire à l’explosif, avec les secrets et les rancoeurs qui se déballent.
Un mariage tellement apocalyptique que ça donne envie d’assister à un mariage. C’est assez drôle, pas exceptionnelle, mais sympathique.
Série : Torchwood
Outside the government, beyond the police : Torchwood
Torchwood est un spin-off de Dr Who, que j’ai jamais vu, ça ne fait rien. Tochwood est une agence créé par la Reine Victoria pour protéger l’Empire britannique contre les extraterrestres et récupérer les objets extra-terrestres. L’institut Torchwood de Cardiff est piloté par le séduisant et mystérieux Capitaine Harkness. Il s’adjoint dans le pilote une jeune policière qui lui permettra, avec son équipe de faire le lien avec la police.
Torchwood, c’est un peu n’importe quoi comme série, ce n’est pas de la parodie, mais ce n’est quand même pas très sérieux, ce n’est pas du tout de la science, mais ça recycle les thèmes habituelles de la SF. C’est spécial mais c’est pas désagréable du tout, assez drôle avec des moments assez touchant autour de la vie privée de ces agents qui ont bien du mal à avoir une vie privé normal en dehors du boulot (voire qui en sont incapable et tombe alors quand n’importe quel trappe sentimentale).
1 réponse à Kro : Hiver 1962 / Genève 2010