Actuellement, mon bureau ressemble à cela. C’est pas très facile d’y travailler.
Pacific Rim De Guillermo del Toro avec Charlie Hunnam, Idris Elba, Rinko Kikuchi, Ron Perlman
Monstre academy De Dan Scanlon avec en VO Billy Crystal, John Goodman
Marius de et avec Daniel Auteuil, Raphaël Personnaz, Victoire Belezy, Jean-Pierre Darroussin
Fanny de et avec Daniel Auteuil, Victoire Belezy, Jean-Pierre Darroussin, Raphaël Personnaz
Si mon bureau ressemble à cela, c’est parce que la chambre de Leirnette ressemble à ceci :
Alors, évidement, quand on met la grande pièce dans la petite pièce, ça fait encombré. Sur le sol, ce n’est pas un parquet roots naturel écolo mais la couche d’isolant phonique qui est bruyante à poser.
Pacific Rim De Guillermo del Toro avec Charlie Hunnam, Idris Elba, Rinko Kikuchi, Ron Perlman
Vous connaissez mon intérêt non dissimulé pour les Robots géants ? Il faut dire que dernièrement, ma passion avait été mis à rude épreuve, avec Transmformer 3, encore plus mauvais que Transformer 2 alors qu’on pensait qu’on avait touché le fond.
Entre temps, nous avons eu Real Steal, avec des Robots géants boxeurs mais j’avoue, je me suis méfiée et je me suis dégonflée.
Et voilà Pacific Rim. Pour vous le dire en 2 mots : c’est Goldorak contre Godzilla, réalisé par Guillermo del Toro, spécialiste de monstre en tout genre, du Labyrinthe de Pan à Hell boy en passant par les 5 légendes.
Je ne sais pas si vous avez bien lu : Goldorak contre Godzilla. Fallait oser. Avec en plus, du « city stomping » dans tous les coins de la côte pacifique, San Francisco, Hong Kong, Manille, Sydney, bref, que du bonheur.
Est-ce que vous avez vraiment besoin du scénario ?
Bon, allez, je vous le donne. A travers une brèche dimensionnelle, des Kaïju, c’est-à-dire des montres géants, attaquent la terre. Pour les combattre, l’humanité a construit des Jaegers (chasseur en allemand), c’est-à-dire des robots géants. Les Jaegers ont besoin de deux pilotes, connectés mentalement pour les piloter. Le reste est totalement prévisible, alors je vous l’épargne, ça vous laissera vaguement la surprise.
Guillermo del Toro n’y va pas par 4 chemins : on est là pour voir des robots géants contre des monstres qui écrasent les villes, eh bien, on en voit, avec un vrai sens du spectacle gigantesque. Et vous aurez le plaisir de voir en vrai des hommages aux fulguropoing et plein-nitronque, si c’est vrai, comme je vous le dis.
Dans les particularités « del Toro », l’héroïne japonaise fait vraiment japonaise, le héros est vraiment gentil et compréhensif et les monstres ne passent pas leur temps à détruire les USA pour montrer à quel point les américains sont les plus forts (même si un peu quand même, ça reste un blockbuster américain) puisqu’ils pilent indifféremment toute la côte Pacifique.
Bref, si vous aimez les Jaeger et les Kaiju, ce films est absolument incontournable.
Monstres Academy De Dan Scanlon avec en VO Billy Crystal, John Goodman
On reprend Sully et Bob, mais cette fois, on se place avant leur association chez Monstres et Compagnie.
On les voit à l’Université, et on découvre comment ils vont se rencontrer et devenir amis.
Le problème des tomes 2, c’est qu’il faut réussir à être inventif et ne pas se contenter de réutiliser les ficelles du 1.
Sur ce point, Monstres academy échoue. Les personnage sont sympas, mais n’apportent pas grand chose de plus. La parodie de l’Université américaine ne mène pas très loin.
L’originalité du film, c’est que pour une fois, le héros, c’est le schtroumpf à lunette, le nerd, et sans qu’il ait besoin de se transformer en quelqu’un de plus cool.
Bob Razowski est le vrai héro du film. Il travaille dur, est un élève sérieux, veut réussir, est intelligent, a confiance dans les autres, se montre être un vrai leader, etc. Alors que Sulli a plutôt tout du Jock, grand con qui mise tout sur sa force et qui est convaincu que bosser ne sert à rien parce qu’il est un Sullivan de la famille des Terreurs d’élite. A la fin, celui qui va évoluer pour le mieux c’est Sulli, alors que Razowski reste égale à lui-même mais est reconnu dans ses qualités.
L’autre particularité, c’est la « happy end » qui n’est pas le message habituel du type : « si tu veux, tu peux et tu seras récompensé » mais plutôt tôt si ça marche pas de cette façon, inutile de bourriner ou de désespérer, faisons le d’une autre manière.
Marius de et avec Daniel Auteuil, Raphaël Personnaz, Victoire Belezy, Jean-Pierre Darroussin
Fanny de et avec Daniel Auteuil, Victoire Belezy, Jean-Pierre Darroussin, Raphaël Personnaz
L’histoire se passe à Marseille, dans les années 30. César tient un bar à Marseille et élève seul son fils, Marius. Celui-ci est amoureux de Fanny qui l’aime en retour. Mais Marius a la folie de la mer et veut partir au loin.
Voici une nouvelle adaptation des romans de Marcel Pagnol (manque le 3e : César). Je connaissais l’histoire pour avoir vu les films d’origine, qui m’avaient marqués à l’époque (et étudié des bouts de texte en classe, Pagnol était vraiment le chouchou de l’Education nationale à mon époque).
J’ajouterai que je n’ai aucun intérêt pour la « magie provençale », je n’aime pas Marseille et l’accent du sud ne me fait ni chaud ni froid. Donc, je ne suis pas particulièrement public cible.
Mais j’ai aimé les deux films. Les acteurs principaux sont très beaux, les décors sont beaux, les dialogues sont beaux et plus moderne que je ne l’aurai cru… Bref, c’est beau, c’est rafraichissant, c’est très sympathique, ni ridicule ni ennuyeux.
2 réponses à Kro des travaux 5 et films