La Bible selon le Chat par Geluck et Dieu
Placebo en concert pour l’album Loud like love
Bilbo le Hobbit : La désolation de Smaug
Breaking bad de Vince Gilligan avec Bryan Cranston, Anna Gunn, Aaron Paul
La Bible selon le Chat par Geluck et Dieu
Philippe Geluck revisite la création avec un premier tome sur la création du monde et des êtres vivants et un deuxième tome avec la création de l’homme et ce qu’il s’en suit.
Notez que je n’ai pas grand chose à en dire, c’est un album du Chat, avec des jeux de mots nuls assumés, de l’absurde et des moments de n’importe quoi. C’est très drôle, lisez-le.
Placebo en concert pour l’album Loud like love
Loud like love n’est pas le meilleur album de Placebo mais c’est une livraison correcte avec quelques jolis titre comme To many friends par exemple.
Bien qu’étant une grande fan, je m’étais dit que je n’irai sûrement jamais voir Placebo en concert parce que les concerts dans les énormes salles, ça ne me tente pas. Voir le groupe à la taille de playmobil et retransmis sur grand écran… je le fais aussi bien de mon canapé.
Mais voilà que le groupe passe à l’Arena à Genève, une grande salle, certes, mais pas Bercy ou le stade de France. Alors, Leirnette et moi avons tenté.
Tout d’abord, je tiens à souligner la grande gentillesse de tout le personnel de l’Arena, depuis la sécurité aux placeuses. C’est vraiment pour ce genre de chose que j’aime la Suisse. En outre, l’Arena est une belle salle, nous étions bien placé sur le devant des gradins.
Quant au concert lui-même, j’ai des amis qui m’ont dit avoir été déçus par la prestation live de Placebo. Je peux comprendre pourquoi : alors qu’il en a la possibilité, puisqu’il parle parfaitement français, il ne communique pas avec le public, ni lui, ni les autres membres du groupe d’ailleurs. Ils font une belle prestation, un joli show de couleur, de belles interprétation, mais pas d’interaction avec le public. Alors, je ne regrette pas de les avoir vu en concert, au contraire, surtout dans d’aussi bonne condition, mais là encore, on peut se dire : dans son canapé avec la sono à fond…
Bilbo le Hobbit : La désolation de Smaug
Des nains, un hobbit, un magicien et c’est reparti pour aller déloger le dragon Smaug de sous la montagne pour que les nains puissent reprendre possession de leur domaine.
Au début, tout va bien, on s’installe confortablement dans l’univers de Tolkien via Peter Jackson. On se frotte même les mains à l’idée de croiser Legolas, bien moins fluet que dans le seigneur des anneaux (puisqu’il a levé de la fonte pour jouer dans Zulu) et plus âgé (comme quoi, la manière dont le temps passe pour les Elfes, c’est bizarre).
Le film est très beau, les reconstitutions de villes sont comme toujours très réussies.
Et puis, au bout d’un moment, on commence à se lasser. Arrive alors Evangeline Lili (connue dans Lost) qui vient faire une Elfe pour faire en sorte qu’il y ait enfin un personnage féminin dans l’univers de vieux garçons de Tolkien. Elle est moyennement convaincante, mais il faut dire qu’elle a aussi une histoire moyennement convaincante.
Quelques bagarres avec des Elfes où ils bondissent partout de manière pas toujours très naturelle, caoutchouteuse, comme dirait Lotin.
Ensuite, ça continue à être très long. Au bout de 2h, on demande grâce. Heureusement, Smaug apparait enfin, mais on a déjà notre compte. Il est très bien, très réussi, il a des ailes, il crache du feu, rien à redire.
C’est alors qu’on a des effets ratés avec de l’or fondu. La synthèse fait un peu « vintage », genre ce qu’on faisait avec 3D studio, quand on était à l’école. Franchement, pas terrible. Mais à ce moment-là, on attend qu’une chose : que ça s’arrête.
Bref, à voir en deux fois, dans son canapé (décidément, je suis très branchée canapé dans cette Kro), je dis pas, mais au ciné d’une traite, c’est éprouvant. Quand je pense qu’il y aura une version longue…
Breaking bad de Vince Gilligan avec Bryan Cranston, Anna Gunn, Aaron Paul (vu depuis mon canapé)
Walter White, 50 ans, est professeur de chimie surqualifié dans un lycée du Nouveau-Mexique. Pour subvenir aux besoins de Skyler, sa femme enceinte, et de Walt Junior, son fils handicapé, il est obligé de travailler doublement. Sa vie est déjà passablement minable quand il apprend qu’il est atteint pas un cancer des poumons et qu’il est condamné.
Alors, il pète les plomb car il cherche à réunir rapidement beaucoup d’argent afin de mettre sa famille à l’abri. Son beau-frère, flic anti-drogue, lui donne involontairement une idée : il va s’associer à un ancien élève, petit dealer minable pour fabriquer, grâce à ses compétences de chimiste de la métamphétamine. D’autant plus que son traitement anti-cancer coûte une fortune que sa mutuelle, quasi inexistante ne couvrira pas.
Breaking bad est une série qui a été couverte d’éloges, c’est pour cela qu’on a commencé à la regarder. Je suis pour le moment partiellement séduite par ce héros assez minable qui a parfois le sursaut de courage du désespéré. Je suis néanmoins assez curieuse de connaître la suite c’est donc que j’ai quand même suffisamment accrochée. Lotin est davantage convaincu.
Incontestablement, c’est une série originale qui a un ton qui lui est propre, ne serait-ce que parce qu’elle se passe à Albuquerque…