Kro

2 films ce WE (vous l’avez deviné, Elise est chez mes parents…!!)

Men In Black II

Le Règne du feu

Men In Black II
On reprend les mêmes et on recommence : la terre est le lieu de séjour d’un
paquet d’aliens, la plupart sont contents d’être là, et quelques autres
cherchent des noises. Les Men in Black sont là pour protéger les terriens et
faire régner l’ordre, dans le plus grand secret.
Tout ce qui était sympa dans MIB I est présent dans MIB II et de manière
également sympathiques. Will Smith est devenu un super agent, il est à
l’aise parmi les extraterrestres et les gadgets. Or, voilà qu’une grande
méchante, déguisée en mannequin de pub de lingerie débarque sur terre pour
tuer tout le monde (en résumé). Pour la combattre, il faut retourner
chercher K (Tomy Lee Jones) et raviver ses souvenirs, qu’il avait perdus à
la fin de l’épisode précédent pour se réinserrer dans la vie normale. En
effet, il est maintenant employé des postes.
Les bons points : le rythme, l’humour et les gadgets (C’est malin,
maintenant, David veut la voiture de J.). En outre, ca ne se prend pas au
sérieux du tout : Will Smith se bat contre 60 m de tuyau en plastique, il
vole dans tous les sens, comme dans un comics et ensuite, redresse sa
cravate (même pas mal !), le film commence par un reportage style « 4e
dimension » avec des trucages à la Ed Wood (soucoupe tenue par des fils,
Alien en caoutchouc, etc.)
Will Smith est impérial et malheureusement, Tomy Lee Jones en vétérant
célèbre qui revient sonne faux. Néanmoins, c’est un très bon moment, sans
surprise majeur. Si vous revoyez avec plaisir MIB I, vous verrez avec
plaisir aussi MIB II. Et on peut même le revoir car parfois, y’a tellement
de bidules d’astuces et de trouvailles qu’on en loupe.

Le Règne du feu
Eh bien, vous n’allez pas me croire : c’est pas mal comme film. Là, comme
ca, en voyant l’affiche, on aurait cru Independance day au pays des Dragons.
Et en fait, c’est plutôt proche de Stalingrad.
Alors, l’histoire :
En creusant le métro de Londres, l’équipe tombe sur une cavité. Un gamin qui
était venu voir sa maman, ingénieure sur le chantier, passe une tête et
réveille le dragon qui dormait là. Il se sauve en crachant du feu et tuant
la maman. 10 ans plus tard, la terre a été dévastée par les dragons qui
n’ont pas arrêté de se multiplier. Quelques survivants tentent de subsiter
et d’échapper aux dragons dans un univers post apocalyptique. A leur tête,
au nord de l’angleterre, le jeune garçon du début devenu grand.
Sa communauté est prête à craquer, la famine guête. Et voilà qu’une colone
de chars américains se pointe, avec visiblement l’intention de compliquer
encore leur vie. Par contre, ils ont une technique pour chasser et tuer les
dragons.
C’est un film de guerre avec des soldats en loque se battant avec des
fournitures minimums contre des grosses bêtes nombreuses et puissantes (mais
moins que des aliens, quand même). Les américians qui débarquent ne sauvent
pas le monde. Leur chef (méconnaissable après son rôle de prêtre dans
Contact) a plutôt pété les plombs dans son combat à la limite entre le
courage et la folie.
Il y a un scénar, simple mais pas ridicule, une tentative de faire des
personnages intéressants (même si quelques répliques sonnent faux et tombent
à plat), une représentation de la vie dans cette communauté plutôt pas mal
(je vous laisse la surprise de la reconstitution théâtrale pour les enfants
de la communauté au début).
Et les dragons sont BÔ. Très. Bien faits, fluides, ca en jette, rien à dire.
Franchement, de l’excellente synthèse.
On regrette de ne pas assister à une bonne scène de desctruction massive
d’une grande capitale au début, puisque le film commence quand tout est déjà
cassé, mais on verra quand même bien les dragons en action.
Les décors sont également très réussis. Tourné en grande partie en Irlande,
avec de belles ruines fumantes ou non, un Londres écroulé du meilleur effet
aussi.
Donc, pour un film d’action super bourrin, c’est raté. Pour un film de
guerre post apocalytique avec des dragons, c’est réussi. C’est donc plutot
bien, la fin sans être raté est un peu plate.

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