Kro magique et affamée

Pau : la quête du restaurant

The Dresden Files

Rubrique « chats »

Pau : la quête du restaurant

Hier et avant-hier, j’étais à Pau. Pau, jolie ville du sud-ouest où il fait en cette saison 17° de plus qu’à Paris (-6 à 11).

Je suis descendue dans un hôtel formidable, joli, au personnel très sympa : l’hôtel Montpensier, rue Montpensier, facile !

Côté restau, c’est plus compliqué. J’ai descendu toute la grand-rue commerçante jusqu’à la grande place de Pau, sans en trouver un seul. Puis j’ai commencé à rayonner autour de la place… en vain. J’ai trouvé 1 kebab, une pizzeria fermée, un Quick et un hôtel Continental Best Western dont le restau est fermé le soir.

Là, j’ai appelé Lotin en lui demandant de me trouver un restau près de la grande place du centre ville. Il a donc saisi internet et il m’a demandé où j’étais… Le problème, c’est qu’à Pau, on ne met pas les noms des rues, d’abord ça fait pas beau et en plus, tout le monde les connaît, ces rues, alors ça sert à rien.

Ça a pris un certain temps, entre : ya pas de nom de rue, ya pas de restau. J’ai fini par découvrir que la grande place s’appelait Clemenceau et non loin, Lotin m’a localisé une Taverne de Maître Kanter, yavait plus qu’à trouver la rue… J’y ai mangé une escalope de veau aux morilles. Les morilles étaient bonnes.

Je me suis baladée dans Pau le lendemain sur le boulevard des Pyrénées (je sais son nom parce que j’avais un plan) : une très jolie promenade à flan de colline avec la ville dans le dos, la gare en contre bas et les Pyrénées en face.

Sur ce boulevard, on trouve côte à côte : un pub irlandais, un bar espagnole, un bar russe et encore un pub irlandais… un restau de luxe quand même sur la place.

Il y a deux ans de cela, j’étais déjà allée à Pau. J’avais mangé dans un restau fameux. Ils doivent être tous cachés quelque part. Mais où ?

Pour descendre du Boulevard des Pyrénées vers la gare, il y a un petit funiculaire gratuit :

Série : The Dresden Files, produit par Nicolas Cage avec Paul Blackthorne

Inspirée des romans de Jim Butcher, dont le tome 1 a été chroniqué récemment, cette série reprend les aventures de Harry Dresden, sorcier figurant dans l’annuaire et consultant pour la police de Chicago. Harry Dresden appartient à la grande famille des magiciens blancs, ceux qui refusent la magie noire malgré le plaisir, malheureusement addictif qu’elle procure à celui qui s’en sert. Le Haut Conseil reste toujours sur ses talons car il a un jour utilisé la magie noire en cas de légitime défense et le Haut Conseil a peur qu’il replonge. En attendant, il joue les détectives privés pour « cas spéciaux ».

De gauche à droite : Harry Dresden, Lieutenant Murphy, Morgan et Bob

On retrouve assez bien l’univers du livre, en un peu moins sombre. Disons que Harry est moins looser que dans les livres, mais il est quand même sans arrêt à cours d’argent et a des rapports pas toujours cordiaux avec Murphy, lieutenante de la police et Morgan, envoyé du Haut Conseil à Chicago. Dresden Files est une série « légère » dans le sens ou elle n’a pas la profondeur ou même les prétentions de Dead Like me ou de Galactica, ce n’est pas une grande fresque avec une grande histoire, mais c’est sympa (les premiers épisodes sont un peu montés vite fait), quelques effets pas mal, des personnages auxquels on s’attache. C’est un bon divertissement.

Rubrique « Chat » :

Quelques découvertes intéressantes en provenance de Youtube :
Comment un chat vous réveille le matin.
Une petite animation miaulante de vérité. Yoshi, qui est un chaton bien élevé, ne le fait pas, bien sûr.

Ici : un dialogue de chat
Et là, surtout à ne pas manquer, sa traduction