Puisqu’on est dans une série « voile », autant pousser jusque Concarneau. La on est dans le « coeur » de la course au large, à 2 pas de Port-la-Foret, base nautique pour l’entrainement à la course au large, et face à l’archipel des Glénans.
Mais nous ne sommes pas venus à Concarneau à la poursuite des bateaux. Ce qui nous a surtout intéressés, c’est la ville close. Étonnante géographie : au milieu de la baie, un ilot rocheux. En somme, une ile très proche de la terre, abritée dans un port naturel. Un peu l’idéal pour défendre l’endroit.
La ville close est donc un ilot fortifié que l’on rejoint pas un pont.
Si nous avons vu la Bretagne assez déserte, on retrouve le monde à Concarneau. Pas une foule compacte… un peu comme une rue piétonne de Saint-Gilles. En revanche, les restaurants ont le même problème qu’ailleurs côté personnel. On s’est attablé à la terrasse d’une crêperie qui allait fermer à 18h et les serveuses n’attendaient que ça.
C’est choupi, la ville close. Depuis la terrasse, on a observé 3 chats qui se sont relayés à la fenêtre pour surveiller la rue. À noter que ces chats habitent au-dessus d’une conserverie artisanale…
Outre les terrines de la mer et les galettes, n’oublions pas le kouign-amann, réprouvé par la convention de Genève, mais toujours en vente libre en Bretagne, parfois dissimulé sous la forme de Kouignette (plus petite, mais suffit d’en manger plus).
Allez, on finit pas des nouvelles de François Gabard qui n’a pas pu faire le Vendée Globe, faute de sponsor. Il en a retrouvé un qui lui termine son trimaran, près pour la Transat Jacques Vabre en novembre prochain.