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La taille basse II : le retour

Les rivières pourpres II avec Benoit Magimel, Jean Reno et Christopher Lee

Le Train bleu, restaurant gare de Lyon

Le chateau de Tiffauges, en Vendée

La taille basse II : le retour : le shorty

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Le mien est noir

Ce blog est vraiment très utile : suite à ma Kro sur les pantalons tailles basses, j’ai reçu de nombreux conseils.
Une première lectrice me signale : « La solution pour les pantalons taille basse… une modestie un peu longue (nos ados ne doivent pas connaitre, c’est tellement désuet une « modestie ») que tu rentres dans le pantalon. Elle cache la culotte qui dépasse ! »
Bon, même si le terme est délicieux, ça n’est pas encore la solution, j’aurai trop chaud, faut autre chose.

Une deuxième lectrice propose alors :
« En tant que martyre de la ligue de défense des pantalons contre-nature protecteurs de semelles sur ce blog, je vais me permettre de te donner quelques trucs pratiques qui éviteront de montrer tes fesses si tu n’en as pas envie, avec les tailles-basses:
1) Opter pour des longs t-shirts (sans vouloir faire du mauvais esprit, tu ne devrais pas avoir trop de mal à trouver des t-shirts qui descendent bien bas sur les hanches :-))
»
Non, mais je vous jure… bref :
« Sinon -et là, nous replongeons avec allégresse dans ce que tu appelles le « contre-nature »- opter pour une robe courte qui fera office de t-shirt. Les petites robes « tube » des années 80 sont très pratiques pour ça.
2) A défaut de string, j’ai trouvé que la culotte idéale à faire dépasser du taille-basse, c’est le shorty tout simple et pas cher, sans frou-frou ni nœud-nœud. Genre à la halle aux vêtements, le premier prix. Sinon, un body? (enfin, il faut aimer se retrouver avec des boutons-pression coincés dans les entournures, après…)
3) Si vraiment rien n’y fait, tu peux aussi choisir d’amortir ton achat en transformant ce pantalon en veste courte: enfiler les jambes à tes bras, retrousser les manches jusqu’à la longueur souhaitée en prenant soin de laisser la braguette ouverte, sinon, ca gène un peu. Mais quelque chose me dit que si tu es déjà réticente à la mode actuelle, tu trouveras certainement que ce système est le comble du contre-nature. 🙂
»

Mais la solution, la vraie, est venue de ma sœur (comme quoi, les grandes sœurs, ca sait tout) :
« Le pantalon taille basse donne l’impression de tomber (et c’est des fois vrai) » (argh) « mais quand on s’est habitué à la sensation, c’est vachement plus confort que le pantalon normal dont la rigidité à hauteur de nombril est finalement inconfortable. »
Et donc : « Bien-sûr, il y a le problème de la ceinture et du sous-vêtement….. Il existe en ce domaine aussi du taille basse, si le glamour de l’élastique de string qui dépasse t’a échappé…. »
Ben ouais. On sait pas, je me suis bien mise à la taille basse… reprenons :
« Puma, par exemple fait des shorty invisibles mais tu trouve aussi sur le cata La Redoute du shorty taille basse, invisible et à moins 50% en cette période de soldes »

Donc, le shorty microfibre taille basse de La Redoute, c’est parfait, n’hésitez pas.

Les rivières pourpres II avec Benoit Magimel, Jean Reno et Christopher Lee

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Le commissaire Niemans découvre un cadavre emmuré dans un monastère de Lorraine. Bientôt, d’autres suivent, tués avec un sens aiguë de la mise en scène, avec un goût prononcé pour la crucifixion. Une troupe de moines encapuchonnés qui s’appellent les anges de l’apocalypse ont l’intention de décimer ainsi une bande de gentils illuminés qui se prenaient pour les apôtres. Mais pourquoi ?

Je n’avais pas tellement aimé les rivières pourpres I, en particulier parce que le scénar était incompréhensible. J’ai regardé le II avec méfiance et je l’ai de beaucoup préféré. Le raté notable, c’est le rôle de la fille flic, docteure en théologie, tout à fait capable aussi de tenir une arme et de courir après les méchants. Le doctorat, ça sert à tout. Ça fait beaucoup de compétences pour être crédible en une seule personne, d’autant plus que l’actrice est franchement mauvaise.

Cela mis à part, le scénar est sympa, l’histoire est bien menée. La Lorraine de l’histoire parait gothique et inquiétante (je l’avais jamais vu comme ça !) et les dialogues sont même drôles par moment.

Le Train bleu, restaurant gare de Lyon

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L’exposition de 1900 fut accompagnée d’un grand effort d’urbanisme, dans la ville de Paris : le Grand Palais, le Petit Palais, le Pont Alexandre III, la Gare de Lyon… et Le Train Bleu. A l’origine, c’était le buffet de la gare de Lyon. Maintenant, il se distingue en 2 versions, la version Express : en bas, un buffet de la gare classique, et la version : Belle époque – Second empire de grand luxe en haut.
Décoration somptueuse, petites alcôves tranquilles, service stylé, prix à l’avenant (la bière en bouteille 33cl est à 7€).

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Mais on ne va pas au Train bleu seulement pour les consommations, on y va surtout pour l’ambiance, la déco, bref, un peu comme un musée dans lequel on prend un verre. (Pensez à visiter les toilettes…)

Tiffauges : le château de Gilles de Rais, dit Barbe-Bleue

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Vue d’ensemble

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Maquette

Gilles de Rais, puissant seigneur médiéval, suivant de Jeanne d’Arc, amateur aussi de magie noire et de petits enfants. Bref, un ogre, un vrai, qui fut finalement arrêté par la justice non pas pour avoir violé et massacré tout ce qui lui tombait sous la main mais pour vouloir reprendre par la force un château qu’il avait vendu et être entré à cheval dans une église. Un peu comme s’il était tombé pour fraude fiscale, vous voyez.

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Un couillard

Toute une équipe s’occupe de l’animation médiévale du château, en proposant plusieurs scènes : du combat, de l’alchimie… et surtout, ils ont de nombreuses machines de guerre qu’ils font fonctionner.

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Engin de levage

C’est une visite sympa, qui plait beaucoup aux enfants. Par ailleurs, ils ont toute une zone de jeux, avec une quintaine (un entrainement au duel) pour les enfants avec un cheval de bois sur une crémaillère qu’on actionne avec une manivelle pour frapper un mannequin.

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Tour d’assaut

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