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L’ultime hallucination

Mes hommes de Malika Mokeddem

Excavatrice Akerman chez JOAL au 1/50e

The Arrival de David Twohy avec Charlie Sheen

La fête de l’école

De Ultieme Hallucinatie (l’ultime hallucination)

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Juste pour le plaisir, un bar art déco, rue Royal à Bruxelles. L’immeuble est en vente mais il y a de bonne chance que le bar survive.

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Bon, pour être franche, le bar est cher et les serveurs sont antipathiques. Disons, le serveur devient sympa au moment où on paye.

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Mais comme c’est un endroit magnifique, je vous en remets un peu, juste pour le plaisir.

Mes hommes de Malika Mokeddem

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Malika Mokeddem, née dans le désert algérien, est médecin et écrivaine. Elle vit maintenant à Montpellier.
Dans ce livre, elle raconte ses souvenirs d’enfance à travers les portraits des hommes qui l’ont aidé ou entravé dans sa marche vers la liberté. Son père, tout d’abord, qui n’a jamais voulu reconnaître sa valeur… à peine son existence. Son oncle, qui lui savait lire, et qui a insisté pour qu’elle continue à aller à l’école, Le conducteur du bus scolaire qui en a fait sa protéger, le médecin de la ville qui l’a prise comme assistance, l’arrachant à l’étouffement de son univers familiale. Ensuite, elle nous parle de ses amants, de la difficulté de vivre en couple libre en Algérie, de la difficulté de vivre en couple tout court, quand on a eu une enfance aussi confinée et contrainte.

Mes hommes est un beau texte engagé pour la tolérance, pour les femmes et les hommes libres, contre les hommes oppresseurs, pour ceux qui aiment la liberté, pour les français, les juifs et les arabes de bien en Algérie et en France.

« Mon père, mon premier homme, c’est par toi que j’ai appris à mesurer l’amour à l’aune des blessures et des manques. A partir de quel âge le ravage des mots ? Je traque les images de la prime enfance. Des paroles ressurgissent, dessinent un passé noir et blanc. C’est très tôt. Trop tôt. Dès la sensation confuse d’avant la réflexion. Avant même que je sache m’exprimer. Quand le langage entreprend de saigner l’innocence. Du tranchant des mots, il incruste à jamais ses élancements. Après, dans la vie, on fait avec ou contre. »
Lire ici le premier chapitre

Excavatrice Akerman chez JOAL au 1/50e

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C’est mon cadeau de fête des mères. Je ne sais d’ou me viens ce soudain enthousiasme pour les engins de chantier miniatures, mais je dois dire que cette série me plait beaucoup. Elle est maintenant sur mon bureau et je compte bien m’acheter maintenant le crase-cailloux… heu, le rouleau compresseur, parce que c’est toujours utile.

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En fait, c’est assez curieux, parce que je suis poursuivie par les beaux engins de chantier… par exemple, l’autre jour, à Rennes…

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The Arrival David Twohy avec Charlie Sheen

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Zain écoute les étoiles à la recherché de signal extra-terrestre et voilà qu’un soir, il en capte un… Mais son chef refuse de le croire, et même, il le vire. Alors qu’il enquête sur la source du signal, son collègue se fait assassiner. Zain part alors au Mexique poursuivre son enquête.
Non, faut le dire, ce n’est pas vraiment un bon film. Je peux pas dire qu’il soit mauvais, hein, ce n’est pas Dreamcatcher. C’est juste un peu facile et sans beaucoup d’imagination dans le scénar, même si l’idée de base est astucieuse.

La fête de l’école

Vous connaissez tous les fêtes de l’école : ces séances de torture organisées par les instits pour se venger des parents qui les laissent seuls avec leurs mômes toute l’année…
Cette année, c’est moi qui était punie et qui ai assisté à tout, et en particulier, à tout ce qui ne me concernait pas parce que Leirnette est passée tout à la fin.
Il est vrai que je n’étais pas très bien disposée, d’autant plus que l’an dernier, on a eu le top du spectacle de fête de l’école.
Cette année, j’ai eu l’impression de voir un spectacle de singes savants. Quand je regarde ce qui intéresse et concerne Leirnette aujourd’hui, je n’en retrouve rien dans cette fête de l’école. C’est une fête pour les parents dans laquelle les gamins leur font un prototype de fête de l’école de quand ils étaient eux-mêmes gamins. On a même eu des enfants danser le tango. Et entre chaque scène, la directrice se tourne vers les parents pour dire : « applaudissez-les car c’est très difficile ». elle le dit tellement, qu’on finit par entendre autre chose, surtout la fois où elle ajoute, après un numéro de percussion brésilienne : « applaudissez-les car même si ça n’en a pas l’air, c’est vraiment beaucoup de travail », une autre façon de dire : ça rend pas mais pourtant, ils ont bossé… Comment peut-on être directrice d’école et manquer à ce point de pédagogie ?

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