Des nouvelles de la montagne

Il pleut beaucoup ces jours-ci… et encore, on m’a dit que cela n’était rien, en novembre commence la saison des pluies. Dans le parc de l’autre côté de mon jardin, il y a des lutins savoyards.

Liberty heights de Barry Levinson avec Joe Mantegna, Bebe Neuwirth, Adrien Brody

La machine à explorer le temps de Simon Wells avec Guy Pearce, Samantha Mumba, Jeremy Irons

La preuve : ce rond de sorcières, absolument typique…

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Vous vous souvenez de l’orphelinat dans lequel on trouve un morceau de l’Institut auquel j’appartiens ? Voilà une photo du couloir :

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des porte-manteaux avec au sol des petits pieds peints par terre pour les chaussures.

Liberty heights de Barry Levinson avec Joe Mantegna, Bebe Neuwirth, Adrien Brody

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Baltimore, 1954. Les piscines sont interdites aux noirs, aux juifs et aux chiens.
Les enfants de la famille Kurtzman sont adolescents. L’un d’entre eux va tenter de fréquenter la première fille noire admise dans un lycée de blancs… en cachette de leur deux familles. L’autre fils flashe sur une authentique wasp tout juste descendu du Mayflower. Quant au père, il gagne sa vie avec la loterie clandestine sous couvert de tenir une boîte de strip-tease.

Pour une raison que je n’arrive pas à élucider, j’adore les histoires qui se passent aux Etats-Unis dans les années 50. Le rêve américain quand il semblait possible ? je ne sais pas…. alors que pourtant l’Amérique oscillait entre racisme et Maccarthysme.
C’est pour vous dire que je suis plutôt bon public… J’ai trouvé ce film très sympa, agréable, drôle, on passe un très bon moment.

La machine à explorer le temps de Simon Wells avec Guy Pearce, Samantha Mumba, Jeremy Irons

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A New York, en 1899, Alexander Hartdegen, un brillant physicien de l’Université de Columbia est amoureux d’une jeune femme qui est assassinée en pleine rue. Refusant d’accepter le destin, il consacre toute son énergie à construire une machine à explorer le temps afin de remonter le temps et de lui sauver la vie. Mais il s’aperçoit que quelque soit ses actions, il ne peut changer le passé. De rage, il part dans le futur.

Très très librement inspiré du livre de HG Wells, sans être mauvais, ce film manque d’un peu de tout, d’intérêt, par exemple. Ou d’ambition.

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