Kro des travaux 3 et autres

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Calcifer est un chat curieux. Il n’a peur de rien, il est toujours là pour aider. Par exemple, il a aimablement commencé à arracher le papier peint à l’étage. (On espère qu’il n’y prendra pas goût…)

Ici, on le voit inspecter le matériel dans la camionnette.

Travaux étape 3

Broken city de Allen Hughes avec Mark Wahlberg et Russell Crowe

The Bling Ring de Sofia Coppola avec Israel Broussard, Emma Watson, Taissa Farmiga

Joséphine de Agnes Obadia avec Marilou Berry, Mehdi Nebbou

Plutôt que la décolleuse à papier peint, plutôt que le produit à décoller, plutôt que le grattoir : utiliser le chat !

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Bon, en fait, c’est les plaquistes qui ont une technique imparable (quand je repense comme j’en ai bavé sur le mur d’en face…)

D’abord avec une spatule, on racle la première couche partout. Puis, la deuxième couche s’en va toute seule avec le produit à décoller vaporisé sur le mur.

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Broken city de Allen Hughes avec Mark Wahlberg et Russell Crowe

Bill Taggart était flic. Suite à une bavure, il est poussé à démissionner même si le maire de New-York le couvre en partie. Il devient détective privé, sans beaucoup de succès. A l’approche de la réélection, 7 ans plus tard, le maire demande un renvoi d’ascenseur, bien payé d’ailleurs : il fait appel à Bill pour découvrir qui est l’amant de sa femme.

Broken city est un polar politique de facture très classique. Russel Crow fait un très bon pourri, Mark Wahlberg un bon flic pas toujours réglo mais avec une conscience. Le scénario est passablement convenu et sans surprise. C’est bien joué, correctement mis en scène… bref, ça se laisse voir, on passe un bon moment mais c’est oubliable.

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The Bling Ring de Sofia Coppola avec Israel Broussard, Emma Watson, Taissa Farmiga, Clair Julien, Katie Chang

A Los Angeles, une adolescente appartenant à la « jeunesse » doré est fascinée par les marques, le luxe, les célébrités. Elle entrainera à sa suite son meilleur ami et deux copines pour aller voler des vêtements, bijoux, sacs et chaussures chez des stars telles que Paris Hilton et Orlando Blum (et d’autres dont le nom ne me dit rien). Au début, c’est trop facile : il suffit de guetter sur internet quand ces personnes sont en déplacement et s’introduire chez eux. Souvent, ce n’est même pas fermé. Et ils ont tellement de toutes sortes de choses, qu’on a même pas l’impression de voler. Si ça se trouve, ils ne s’en rendront même pas compte…

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Sophia Coppola a toujours filmé des adolescentes avec talents. La particularité de ce film est l’absence de point de vue ou de morale. Les faits et les événements s’enchainent. Ils volent, ils s’en vantent en soirée. Ils re-volent, ils se prennent en photos sur Facebook avec leurs vêtements de marques, ils volent encore, etc.

Si la cheffe du gang a une fascination presque fétichiste pour la vie de stars, les autres la suivent par ce que c’est cool, parce que ça rend populaire. Et peut-être qu’un producteur les remarquera. Ce qu’ils font n’est rien de plus que ce dont ça a l’air : pas de message, pas de drame, pas d’enfants malheureux ou battus ou abandonnés ou même incompris. Le jeune garçon dira qu’il ne se sentait pas sûr de lui, qu’il était mal dans sa peau… ni plus ni moins que l’ado moyen vaguement en rupture scolaire mais pas trop. On a envie de dire : ils volent juste comme ça. Et c’est ce qui fait l’intérêt du film.

Les jeunes acteurs et actrices sont tous très bien et Emma Watson, quelque soit la manière dont elle est habillée, a une vraie élégance.

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Joséphine est très très librement inspiré de la BD de Pénélope Bagieu. Comme dans la BD, Josephine est célibataire, voudrait ne plus l’être, a de grosses fesses et un chat appelé Bradpitt.

Tous le reste n’a rien à voir. Autant la BD est maligne rigolote et bien moins stéréotypée qu’il n’y parait, autant le film est un sous Bridget Jones de bazar, girly à la caricature mais sans le faire exprès, bourré des poncifs du genre, bref, c’est nul. On est parti avant la fin, et pourtant, le film est court.

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