Kro d’avant Noel

Si vous comptez sur ma Kro pour vous inspirer des cadeaux de Noël, c’est une erreur. Elle ne vous servira sûrement à rien.

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Par exemple, parmi les choses que vous ne pouvez pas offrir, je peux vous montrer la Salle des Droits de l’homme à l’ONU, dont le plafond, évoquant la mer a été réalisé par Miquel Barceló et offert par l’Espagne. Les personnes qui m’ont amenée voir cette salle trouvaient le plafond très vilain. Mais moi, j’ai plutôt aimé. C’est impressionnant et original. J’aime bien.

Starwars, le réveil de la force de J.J. Abrams avec Daisy Ridley, John Boyega, Oscar Isaac, Harrison Ford et Carrie Fisher

Un + une de Claude Lelouch avec Jean Dujardin, Elsa Zylberstein et Christophe Lambert

Le pont des espions de Steven Spielberg avec Tom Hanks et Mark Rylance

Starwars, le réveil de la force de J.J. Abrams avec Daisy Ridley, John Boyega, Oscar Isaac, Harrison Ford et Carrie Fisher

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L’histoire se passe après tous les autres films. moncler homme soldes Certes, Vador et l’empereur ne sont plus, mais la galaxie n’en a pas fini avec la tyrannie car le 1er ordre se débarrasserait bien de la république, forte d’une armée de clones et de combattants fanatiques. Il faut en profiter : il y a pénurie de Jedi : le seul connu, Luke Skywalker, a disparu.

Abrams est un grand fan de Starwars. Il a donc voulu être fidèle et même très fidèle à la série. On retrouve les grands thèmes : une saga familiale assez tragique, la force qui nous baigne tous, des droïdes sympas qui sifflotent, une super arme géante qui détruit des planètes, un bouclier qu’il faut désactiver, des combats au sabre laser, un bar galactique avec des bestioles. C’est tellement fidèle que ça manque un peu d’originalité.

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Pour définir ce Starwars, on peut dire ce qu’il n’est pas : pas ridicule car sans personnage à la Jar-Jar. Pas gnagnan : pas d’histoire d’amour contrarié où on se roule dans les vertes prairies à fleurettes, pas non plus d’abus de philosophie de pare-chocs, avec des tirades à n’en plus finir sur le côté obscure, la force, le destin et autre.

Et une fois qu’on a dit ce qu’il n’y avait pas, qu’y a-t-il ? Pas grand chose, en fait. On cherche une scène marquante, comme l’avancée des dromadaires sur la planète glacière, « ces droïdes ne sont pas ceux que vous cherchez », « Luke je suis ton père », « Vole d’un air décontracté », Leïa en maillot de bain dorée au pied d’une grosse limace pendant qu’on menace de jeter Ian Solo dans un cul de poule, tout le monde coincé dans un compacteur d’ordures, les tenues de la princesse Amidala, la ville aquatique, etc.

Non, là, rien de spécial, rien de neuf, rien de plus que dans les autres. On ne s’ennuie pas, ce n’est pas mauvais et les acteurs jouent plutôt beaucoup mieux que dans les autres. On est content de revoir Harrison Ford et Carrie Fisher. Mais l’ensemble de ce film n’était pas vraiment utile.

Ah, j’oubliais: le méchant s’appelle Le Grand Snoke. Comment prendre au sérieux un gars qui s’appelle Le Grand Snoke ? (Quant au nouveau Vador, je dirai simplement qu’il a plus de cheveux mais un charisme d’endive).

016306.jpg-r_160_240-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx-2015-12-20-00-24.jpgUn + une de Claude Lelouch avec Jean Dujardin, Elsa Zylberstein et Christophe Lambert

Antoine est compositeur de musique de film. Il est charmeur, cabotin et égocentrique. Toutefois, il est amoureux d’une femme qui lui ressemble, indépendante comme lui. Alors qu’il part en Inde pour une version moderne de Roméo et Juliette, il rencontre Anna, la femme de l’ambassadeur de France, une femme qui aime la spiritualité de l’Inde, dont il se moque bien. moncler pas cher Mais ils plaisantent ensemble et se plaisent. Jouant à se séduire, ils partent tous les deux en voyage initiatique.

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En gros, c’est « Un homme et une femme » en Inde. Une comédie avec 2 bons acteurs et l’Inde très bien filmée. Jean Dujardin en fait un peu trop (mais jouer les cabotins égocentriques, ça doit lui plaire) et ce n’est pas tout le temps intéressant. Mais c’est une gentille comédie.

160047.jpg-r_160_240-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx-2015-12-20-00-24.jpgLe Pont des espions de Steven Spielberg avec Tom Hanks et Mark Rylance

James Donovan, un avocat de Brooklyn doit défendre l’homme le plus détesté des Etats-Unis : un espion russe. doudoune moncler soldes Or, nous sommes en pleine guerre froide, à un moment particulièrement paranoïaque où on attend à tout moment une chute de bombe atomique. bottes timberland Il parvient à le faire acquitter. Ce qui va s’avérer pratique car les russes capturent un aviateur américain. Au lendemain de l’édification du mur de Berlin, il va devoir aller négocier l’échange.  

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C’est un film de Spielberg. Il est donc bien réalisé, avec une certaine subtilité : il montre commet le gouvernement entretient la parano anti-russe et l’angoisse d’une imminente guerre nucléaire. ugg australia pas cher Un certain oubli des règles de la démocratie quand il s’agit des russes (le parallèle avec le l’actuel Patriot act est facile à faire). Moncler doudoune pas cher Une volonté aussi de montrer des gens assez ordinaires. L’espion russe semble très modeste, même s’il est indéniablement talentueux. L’avocat ressemble à un américain moyen, attentif à bien faire son travail, même quand le contexte le dépasse, les jeunes pilotes américains supposés se suicider s’ils sont capturés ont humainement envie de sauver leur peau.

A cause peut être de ce manque de panache (probablement assez réaliste, par ailleurs), le film manque un peu d’éclat et se traine.

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