Les réflexions d’une grenouille
Privée de Véronique Olmi
Equilibrium avec Christian Bale, réalisé Kurt Wilmmer
Les réflexions d’une grenouille
Suite aux incitations d’Elisabeth, je suis allée voir ce livre. C’est donc un livre pour enfant poétique, dans lequel une grenouille qui a une tête pas possible, se pose des questions existentielles.
C’est drôle, c’est joli et philosophie au niveau de petites bêtes : c’est quoi le visage d’un escargot ? Mais c’est trop subtile sur du 6 ans… Ou alors, faut expliquer plus, le charme ne prend pas.
Privée de Véronique Olmi
Petit livre de la collection Babel, acheté au hasard dans une gare, choisi pour sa taille, son titre et sa 4e de couv. C’est un livre de nouvelles très brèves. Et comme je suis une maniaque du rythme, j’ai bien les nouvelles, du moins quand elles sont réussies, parce que, nécessairement, ya un vrai travail de rythme. Privée m’a fait penser aux nouvelles d’Anne Gavalda. Des tout petits moments, tout simple, parfois, tragique, parfois… Une femme qui va voir sa grand-mère dans un hopital, un petit garçon terrifié par son grand-père pendant un repas de famille, une ouvrière de cinquante ans qui risque d’être licenciée, un texte très vrai sur le métro… Pour un livre pris au hasard, c’est une très bonne surprise, je le conseille vraiment.
Equilibrium avec Christian Bale, réalisé Kurt Wilmmer
C’est un film entre Matrix et Fahrenheit 451. Suite à la 3e guerre mondiale, l’humanité, pour éviter une ultime 4e, a banni les émotions humaines grâce à une drogue. Plus personne ne ressent, sauf des criminels, qui stockent chez eux des tableaux, des disques, du parfum, etc. Le héros est un de ces chasseurs de criminel, qui évidement, va commencer à se demander si par hasard, on ne ferait pas fausse route… Un esthétisme réussi… Une histoire qui ressemble beaucoup trop à Farenheit pour que j’accroche, des explications psychologiques qui me font un peu marrer, comme la « science » starwars peut faire marrer les physiciens… Bref, j’ai passé un bon moment, mais j’ai quand même été déçue. Pas un film pour moi, on va dire, à part pour le décor, et le côté matrix. (Le coup du Kata du tir : comment se placer pour être dans tous les angles morts de tous les tireurs puis les défoncer, c’est pas mal du tout). Une mention spéciale à la scène d’intro.
« You have a nightmare.
I fling myself against the
Door to cheer you up! »
Cat Haiku by Deborah Coates