Bonjour,
Pirates des Caraïbes II avec Johnny Depp, Orlando Bloom et Keira Knightley
Olympos de Dan Simmons
Arrivée de la course « Les Sables – Les Açores – Les Sables »
Pour que vous puissiez vous amusez au boulot, je vous ai préparé une petite Kro avec plein de liens à cliquer :
Tout d’abord, grâce au blog d’arbobo donc je vous ai déjà parlé, j’ai découvert plusieurs choses utiles ou rigolotes.
Des sites sur lesquels on peut des photos libres de droits pour illustrer ses pages :
photo1
photo2
photo3
De l’’extrème diet coke + mentos en chorégraphie
Une certaine façon d’être geek
Et enfin, une anim qui vous explique que télécharger de la musique sur Internet, c’est mal.
Pirates des Caraïbes II avec Johnny Depp, Orlando Bloom et Keira Knightley
Encore sous le charme du tome 1, nous sommes allés voir Pirates des Caraïbes II avec Leirnette.
C’est reparti pour des histoires de pirates, de malédictions, d’amour contrarié, bref, on retente le même cocktail qui a fait le succès du précédent, grâce, il faut bien le dire à la présence inattendue de Jack Sparrow, composé par Johnny Depp.
Malheureusement, la 2e fois, ça marche moins bien. Certes, y’a du spectacle, des beaux bateaux, des tentacules, des monstres, mais le film en fait de trop, en particulier Johnny Depp, en gesticulation et ridicule, dans des situations qui virent au dessin animé. Quant à l’histoire en elle-même, elle n’apporte par grand-chose d’original et surtout, elle ne se finit pas puisque le tome 3 arrive à Noël. Mais comme il a été tourné en même temps que le 2, on peut craindre qu’il soit dans la même veine.
On passe un moment amusant, mais on est loin de la qualité originale et rigolote du tome 1.
Heureusement, pour les fans (comme moi), la musique est toujours de Hans Zimmer.
Olympos de Dan Simmons
La suite d’’Illium, qui a mis un temps fou avant d’’être traduit en français.
Je vous rappelle le contexte : la guerre de Troie fait rage. Thomas Hockenberry, scoliaste, est là pour l’’observer et tout raconter ensuite aux Dieux de l’Olympe. Mais Hockenberry est en fait mort à la fin du XXIe siècle. Que fait-il là ? Qui sont les Dieux ?
Pendant ce temps, sur terre, des humains à l’ancienne vivent dans l’insouciance : quand ils sont malades, on les soigne. Quand ils vieillissent, on les rajeunit. Quand ils veulent voyager, ils se téléportent. Quand ils atteindront 100 ans, ils rejoindront les post-humains. Pourtant, des éléments semblent déraper, dans la vie de ces hédonistes qui ont même oublié ce qu’était la lecture.
Et pendant ce temps, du côté d’Io, des moravecs, sorte de robots intelligents, dissertent sur les pièces de Shakespeare ou les uvres de Proust.
Cet apparent fouillis est en fait très ordonné. Nous sommes chez Simmons, quelqu’un qui a du métier, qui sait ce qu’il fait. Il maîtrise son histoire et tout va se tenir. Avec beaucoup d’érudition il nous promène des pièces de Shakespeare au poème d’Homère, tout en n’oubliant pas sa trame de SF.
Globalement, c’est du bon boulot. Il y a en particulier des scènes franchement drôles comme une séance de sexe divin entre Zeus et Héra, des discussions de politique moravec émaillé de citation de Star Trek. Ou encore la fin d’Achille qui ne manque pas de piquant et de second degré. Mon seul regret : que ce soit si long. Je n’arrive pas à m’intéresser à ce qui arrive aux humains à l’ancienne, même si c’est important dans l’histoire générale. Je n’accroche à aucun de ces personnages. Alors que je m’amuse beaucoup plus avec les Moravecs ou la guerre de Troie.
Alors même si je me suis ennuyée par moment à la lecture, je conseille quand même, surtout si vous aimé la guerre de Troie, avec quelques réserve quand même car c’est mon cas aussi.
Pour finir, un air de vacances.
Voici l’arrivée de la course « Les Sables – Les Açores – Les Sables » :
Et puis, si vous voulez acheter un Open 60 pour faire le prochain Vendée Globe en 2008, c’est bon, y’en a un à vendre :
