Pour un congrès, quelques jours à Fort de France. Je ne suis jamais allée aller outre mer, alors, je suis un peu intriguée.
Vol avec Corsair… rien de spécial, un punch planteur pour commencer le repas. Une chose quand même : la ventilation de l’avion nous a congelé… C’est pour cela que…
arrivée à l’aéroport Aimé Césaire, il fait 30°, ça nous fait un choc.
Un gentil chauffeur de taxi qui ressemblait lui-même à Aimé Césaire nous a emmené à l’hôtel.
La nuit tombe très tôt. A 17 h, le soleil décline. A 18 h, il fait nuit. Curieusement, ce n’est pas particulièrement un pays qui vit tard, puisque la nuit tombe tôt. En outre, comme on est pas très loin de l’équateur, il n’y a presque pas de variation.
Nous sommes à la fin de la saison humide, qui finit officiellement en novembre. Il y a encore de grosses averses de 10 minutes.
Et ensuite, il fait beau de nouveau.
Nous logeons à Schoelcher, nom du ministre des colonies qui abolit l’esclavage en 1848. La ville est située dans la large baie de Fort de France.
Nous sommes donc côté mer des Caraïbes, sous le vent. Les Alizés soufflent en permanence mais comme nous sommes protégés par l’ile, la mer est particulièrement calme.
En Martinique, beaucoup de choses sont plus grosses que la normale :
Cette chenille (Lotin dit qu’elle s’est échappée d’Alice au pays des merveilles)
les lézards :
des insectes volants ressemblant à des bombardiers, des légumes de tailles inhabituelles :
Difficilement reconnaissable : un avocat.
Et aussi des légumes et des fruits dont je ne connaissais pas le nom et qui restent à ce jour mystérieux.
2 réponses à Kro de Martinique I