N’ayant rien de mieux à faire, je vous propose une photo de Calcifer dans une activité normale…
Il me restera à rattraper mon retard livres…
Ave Cesar par Joel Coen et Ethan Coen avec Josh Brolin, Ralph Fiennes, George Clooney et Scarlett Johansson
Rosalie Blum de Julien Rappeneau avec Noémie Lvovsky, Kyan Khojandi, Alice Isaaz et Anémone
Des nouvelles de la planète Mars de Dominik Moll avec François Damiens et Vincent Macaigne.
Zootopie, des studios Disney
Et après cette salve de films je vais être à jour côté cinéma.
Ave Cesar par Joel Coen et Ethan Coen avec Josh Brolin, Ralph Fiennes, George Clooney et Scarlett Johansson
Une folle journée (comme elles le sont toutes) de la vie d’Eddie Mannix, « fixer » dans le Hollywood des années 50. puma pas cher Son métier ? Régler les problèmes des stars et des producteurs… et ils sont aussi innombrables que variés. Comment rendre plausible un acteur abonné au rôle de cow-boy (et incapable de dire une phrase sans un accent red neck) dans un film sentimentale ? Comment justifier la grossesse de la star (célibataire) des ballets aquatiques ?
Le pire, c’est quand l’acteur qui joue un général romain dans une énième reprise de la vie du Christ est enlevé par un groupe de communiste.
Ave Cesar est un film parodique de l’âge d’or d’hollywood… Ceux et celles qui, comme moi, ont vu les comédies musicales à la Fred Aster, les péplums à la Cecil B. bottes ugg soldes de Mille, les tragédies romantiques du type « Autant en emporte le vent » et les ballets nautiques à la Ester Williams apprécieront les subtiles décalages à peine exagéré… puma pas cher Comme ce ballet de marins en goguette… finalement assez gay…
C’est donc une pile de non sens qui s’enchainent mais qui tiennent debout… basket timberland Si le film est un peu lent au milieu, les « tableaux hollywoodiens » sont de vrais merveilles. Clooney se balade en jupette ridicule avec nonchalance et auto-dérision.
Au final, je me suis plutôt bien amusée devant Avé Cesar.
Des nouvelles de la planète Mars de Dominik Moll avec François Damiens et Vincent Macaigne
Philippe Mars, ingénieur informaticien divorcé, mène une vie qui pourrait être tranquille, voire ennuyeuse, si sa famille n’était si agitée : un fils collégien devenu subitement végétarien, une fille lycéenne obsédée par la réussite, une soeur artiste peintre qui aime peindre des nus de leurs parents et une ex-femme qui bosse à la télé et lui laisse les enfants à chaque urgence…
Comme il ne sait pas dire non, on l’envoie travailler avec un collègue border line… qui finit par attaquer les gens au couteau de boucher…
Je suis plutôt belgophile, côté humour, mais là, je n’ai pas accroché du tout. moncler sitemap Ce pauvre Mars qui ne sait dire non à personne, l’absurdité des situations m’ont fait décrocher. soldes puma sneakers Pas forcément inintéressant comme film, mais pas pour moi.
Rosalie Blum de Julien Rappeneau avec Noémie Lvovsky, Kyan Khojandi, Alice Isaaz et Anémone
Vincent Machot est coiffeur dans une ville de province. timberland sitemap Il a une copine qu’il n’a pas vu depuis 6 mois et qui est monté à Paris. Il monterait bien aussi. Mais il s’occupe de sa mère, envahissante et tyrannique et parfois un peu dingue, depuis la mort de son père.
Tous les jours, il suite la même routine, depuis nourrir son chat, ouvrir son salon, acquiescer aux propos de ses clients, manger avec sa mère, obéir à ses 4 volontés.
Et voilà qu’un jour, justement pour lui trouver du crabe au citron un dimanche, il fait le tour des épiceries et en trouve finalement une qui est ouverte et où il ne va jamais d’ordinaire. Là, il croit reconnaître la femme qui tient l’épicerie, mais sans pouvoir l’identifier.
Alors, lui vient une idée un peu folle : il va la suivre pour découvrir qui elle est.
Elle, c’est Rosalie Blum, qui noie un passé douloureux dans le whisky, qui a une vie toute aussi morne que Vincent Machot et trouve assez amusant cet homme qui la suit. Elle va alors demander à sa nièce de suivre Vincent Machot afin découvrir pourquoi cet homme s’intéresse à elle. La nièce, qui a abandonné la fac, l’idée de travailler et même l’idée de faire quoi que ce soit, se prend au jeu.
Rosalie Blum est un film tendre, un peu incongru, un peu drôle et un peu triste. C’est un film touchant, avec des personnages qu’on a envie de rencontrer. Ryan Khojandi fait le brave type un peu hébété qui se rend bien compte de ce qui lui arrive mais ne sait pas changer sa vie. Anémone, dans le rôle de sa mère tyrannique est excellente.
La chose curieuse avec ce film, c’est que les gens ne sont pas beaux. Ils ne sont pas arrangés pour la caméra. Vincent Machot est terne, sa mère est vieille, mais pas une vielle dame pimpante, Rosalie Blum est abimée par la vie.
En voyant ces personnages, je me suis rendue compte à quel point le cinéma nous avait donné l’habitude de nous montrer des gens beaux et bien mis en valeur (et surtout les actrices). Quand on y voit des gens normaux, tels qu’on peut les voir dans la rue, on est déstabilisé.
Incidemment, Rosalie Blum est tirée d’une BD éponyme dont le dessin a l’air bien sympa.
Zootopie, des studios Disney
Zootopie est une ville de rêve où tous les animaux vivent en paix. Prédateurs et proies main dans la main (l’histoire ne dit pas comment les carnivores se sont reconverti, mais bref, comme visiblement, on n’a humaniser que les mammifères, je suppose que tout le monde bouffe des poissons et du poulet).
Dans Zootopie, un lapin peut devenir flic. Sauf que concrètement, les préjugés sont encore tenaces et si le Bureau de la diversité de la municipalité est très fier de son programme d’inclusion, dans les faits, quand cette lapine hyper motivée, première de sa promo, arrive dans les rangs de la police, on la met à la circulation.
Pourtant, elle a décidé d’élucider le mystère des prédateurs qui disparaissent.