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Alien Convenant de Ridley Scott avec Avec Katherine Waterston, Michael Fassbender Les gardiens de la Galaxie 2 de James Gunn avec Chris Pratt, Zoe Saldana, Dave Bautista La Belle et la bête Bill Condon avec Emma Watson, Dan Stevens Alien Convenant de Ridley Scott avec avec Katherine Waterston, Michael Fassbender Un vaisseau avec 15 personnes d’équipage en cryogénie, 2000 colons, endormis également. Au commande du vaisseau, un Synthétique pilote vers une planète lointaine mais une avarie (un neutrinos coincé dans une turbine, un truc comme ça) oblige le Synthétique à réveiller l’équipage. Le capitaine meurt dans l’accident. Le Second, pas tout à fait taillé pour l’emploi, se retrouve aux commandes.

C’est alors qu’ils captent un message, comme une chanson, en provenance d’une planète habitable non loin. Ils décident d’aller voir, et possiblement de s’épargner 7 ans de voyage. Malheureusement… Que vaut ce dernier Alien ? Dans les points positifs, il est « raccord » avec les autres. c’est le chainon manquant entre le précédent « prequel » et la série ensuite. Les images sont belles, le vaisseau, la planète, les monstres, tout est réussi. Le scénario ? Il est affreusement banal. Il commence sur un argument en bois : une tempête de neutrinos fortuite et paf, juste à côté, un message venant d’une planète inconnu. Alien 1, commençait un peu comme ça mais ça tenait la route : le vaisseau réveille l’équipage parce qu’il capte un message de détresse. Dans cet opus, on a une tempête de neutrinos (la belle affaire), une grosse panne et par hasard, une planète à aliens juste à côté. La suite n’est pas mauvaise en soi, mais déjà vue très souvent. On n’est surpris par rien. On peut se raconter l’histoire au fur et à mesure. Les quelques révélations ne nous sortent pas de l’ennui… les surprises n’en sont pas. Et les Aliens grandissent drôlement vite quand même.

Point positif : y’a des Aliens. C’est sympa.

Les gardiens de la Galaxie 2 de James Gunn avec Chris Pratt, Zoe Saldana, Dave Bautista Egaux à eux-mêmes, les Gardiens de la galaxie sont embauchés comme mercenaires pour des missions dangereuses, avec des monstres. Et, égal à lui-même, Rocket ne peut pas s’empêcher de voler leurs employeurs… qui se trouvent être une civilisation de gens snobs et puissants. Poursuivis par ces gens fâchés, ils sont sauvés par un être surpuissant qui dit être le père de Quill (et accessoirement, un Dieu). Les gardiens de la galaxie ont réussi à garder le même côté kitsch, ridicule, bariolé, absurde et ne se prenant pas au sérieux que le précédent. Tout en arrivant à maintenir une histoire, certes facile, mais cohérente. On appréciera les couleurs psychédéliques, les très très gros guns, (Gamora tire avec une espère de Gatling géante à un moment, un bonheur), les réflexions à côté de la plaque de Drax et Bébé Groot, un héros mignon à part entière. Bon, mon préféré reste Rockett. Un Raton-laveur qui parle, pilote des vaisseaux et construit / répare n’importe quoi… trop cool.

La Belle et la bête Bill Condon avec Emma Watson, Dan Stevens On l’a déjà dit : Disney repasse tous ses dessins animés en film. Après Cendrillon, vraiment très mauvais, ou le Livre de la jungle, avec une synthèse impressionnante (on peut se demander l’intérêt de passer du dessin animé à l’image de synthèse, mais bref), j’ai vu La Belle et la Bête, incitée par Leirnette. Ok, les acteurs jouent bien, Emma Watson a pris des cours de chant et a d’ailleurs eu un prix, tant mieux. Ca chante tellement que c’est davantage une comédie musicale qu’un film. C’est beau, y’a de la robe qui tourne et des objets humanisés.

On y décrit une France sous l’Empire (ce qui est anachronique par rapport au conte qui est plutôt sous Louis XVIe), mais parfois, ça fait aussi un peu moyen âge, avec un village « français », au marché rempli de pain, viennoiserie et fromage ! Dans les quelques nouveautés qui rafraichissent, pour une fois, tous les personnages ne sont pas blancs, certains couples sont mixtes (quel audace, mais ça fait du bien !) et un second rôle est gay, ce qui aventureux pour un Disney. A part, je me demande toujours : quel intérêt ? (oui commerciale, ça j’avais compris).

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