Kro coréenne et de nains…

Black books

Nains et Jardins

L’arbre de sel

Série :

Black books créée par Graham Linehan et Dylan Moran (saison I et II)

Dylan Moran, Bill Bailey & Tamsin Greig
© Channel 4 Television Corporation Galerie complète sur AlloCiné

Bernard Black tient une librairie d’occasion à Londres. Il est sale, paresseux, odieux, alcoolique et déteste les clients. Il est ami avec Fran, vendeuse d’objets design stupides (mais qui déteste également tenir sa boutique) avec laquelle il partage un goût pour la boisson et la cigarette.

N’arrivant pas à faire ses comptes, il embauche Manny, gentil, calme, affable avec même parfois des idées pour augmenter les ventes. Sans emploi et domicile, Manny va loger dans la librairie de sorte de Bernard pourra le tyranniser plus efficacement et se saouler en sa compagnie.

C’est une série épuisante. Malgré les sous-titres en VO, ça doit la série qui comporte le plus de mot anglais qui me sont inconnus, avec en plus un débit impressionnant.

Il y a du Python dans cette série, brassant absurde, non-sens et humour trash. Comme il n’y a pas de sénario, mais que des situations et des dialogues, il m’est impossible de vous en dire plus pour vous faire découvrir l’ambiance.

Nous noterons plus particulièrement l’épisode où Fran est embauchée dans une société où elle n’a aucune idée de la nature du travail. Mais elle découvre peu à peu que personne n’en a aucun idée, mais qu’il suffit d’être odieux avec les subordonnées et sûre de soi avec les supérieurs pour que ça marche.

Notons aussi l’épisode où ils partent tous les 3 en vacances avec des billets pas chers mais passent 10 jours en vol sur 11 jours de vacances avec par exemple un Heathrow / New Zealand / Moscou / Standstead (qui est aussi un aéroport de Londres) / Ibiza.

Dites-vous que si vous aimez les séries délirantes comme seules les anglais peuvent les faire, ça vaut la peine d’essayer. Et vous apprendrez du vocabulaire argotique.

J’ai découvert que Canal+ l’avait acheté. Je me demande si elle va avoir du succès.

jeux :

Nains et Jardins, le jeu de rôle en plâtre, de Antoine Bauza et Cédric Chaillol

Dans mon jeune temps très très reculé, je faisais du jeu de rôle. Je n’en fais quasiment plus et je le regrette, mais l’autre jour, j’ai eu l’opportunité de feuilleter un jeu rigolo, auto-produit mais à la maquette plutôt soignée.

Il s’agit de jouer des nains de jardins qui se battent contre l’urbanisation forcenée et la disparition des espaces verts et autres forêts. La vie est dangereuse, car un nain, c’est fragile et la colle à mastic, ça ne répare pas tout. Et puis, les collègues de mission, parfois, sont plus nocifs que les rats d’égouts et les pelleteuses.

Si contrairement à moi, vous avez gardez une activité ludique et que vous êtes un peu sensibles aux brins d’herbe (ça se voit que les auteurs sont compétents en botanique), vous avez de bonnes chances de vous amuser avec nains et jardins…

Restaurant:

L’arbre de sel, gastronomie coréenne

Lotin et moi aimons bien mangé coréen et nous avions repéré depuis longtemps ce restaurant 138 rue de Vaugirard qui avait d’excellentes critiques.

C’est vrai que le restau est beau et qu’on y mange bien, mais je l’ai trouvé moins intéressant que le restau du Ve, près de l’IHP, moins orientée découverte, moins varié au niveau des menus, bref, j’ai été un peu déçue, même si ce que j’ai mangé était bon. (Le menu ne comportait même pas de kimchi, rendez-vous compte).

Pour finir, une étonnante animation à base de graffitis sur les murs.

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