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L’affaire Farewell de Christian Carlon avec Emir Kusturica et Guillaume Canet
Fame, remake de l’ancien film culte dont on a tiré une série
Une histoire de famille de et avec Helen Hunt

L’affaire Farewell de Christian Carlon avec Emir Kusturica et Guillaume Canet

Guillaume Canet est ingénieur chez Thompson, en poste à Moscou. Il est sans histoire autant qu’on peut l’être en pleine guerre froide. Il est contacté par un ancien du KBG russe qui lui dit qu’il a des renseignements précieux à faire passer à l“ouest. Plus ou moins sans s’en rendre compte, l’ingénieur devient lui aussi un espion…

Un vrai film d’espionnage de guerre froide qui propose une version intéressante de la fin de l’ère communiste et du passage à la Perestroïka.

Pour une fois c’est un film d’espionnage pas trop compliqué à suivre. Emir Kustorica y est très impressionnant. La fin est un peu décevante, à la fois un peu plate et pas si crédible… mais le film est intéressant. Il nous remontre une époque révolue : le communisme et la manière dont la population russe était sous surveillance.

Fame, remake de l’ancien film culte dont on a tiré une série

L’histoire se passe à l’école des arts du spectacle de New York. C’est l’audition et de nombreux jeunes gens viennent plein d’espoir, obtenir le laisser-passer pour la gloire via 4 ans d’étude.

L’histoire va tourner autour de quelques uns de ces jeunes jusqu’au spectacle de fin d’étude.
Fame est une comédie musicale avec autour des performances artistiques un peu d’histoire. Mais le temps passe trop vite, on saute d’une année à l’autre sans avoir eu le temps de s’attacher à qui que ce soit. On manque de suivi et les tranches de vie qui nous sont livrés semble parfois bien convenus. C’est pas mauvais, c’est distrayant, c’est pas très bon non plus. Leirnette me dit que ça ne vaut pas ”Un, dos, tres”… je la laisse seule juge.

Et puis, je dois dire que j’en ai marre des films américains ”Safe Sex“ : les ”héros“ sont gentils et mignons et seuls les méchants proposent de coucher à de pauvres filles trop naïves qui ne savaient pas à quel point le sexe est dangereux. C’est peut être parce que j’ai vu ”Twilight” 2 fois que je suis devenue allergique, je sais pas.

Alors, bien sûr, j’ai gardé un vrai bon souvenir du film des années 80 et un vrai bon souvenir de la série… Mais à l’époque, ben, j’avais pas 40 ans, c’est sûr. Etait-il meilleur ou était-ce juste que j’étais plus jeune ? Mine de rien, j’ai de nombreux souvenirs de la série, qui certes, était gentillette (et certainement tout aussi safe-sex) mais qui me font dire que là au moins, il y avait une histoire.
Et si le personnage du noir mauvais garçon a été conservé, ainsi que celui de la fille de bonne famille un peu coincée, le vieux prof de musique juif a disparu ainsi que la prof de lettre (plus aucune allusion aux matières non artistiques traitées à l’école) ainsi que le personnage du jeune homo mal dans sa peau. Le FAME 2009 est plus aseptisé finalement que le FAME 1980. C’est un peu inquiétant.

Une histoire de famille de et avec Helen Hunt

April a 39 ans et se marie. Elle qui est une fille adoptée, elle rêve d’avoir un bébé. Et voilà que tout tombe en miette d’un coup : 2 mois après leur mariage, son mari lui apprend qu’il s’est trompé et la quitte. Sa mère adoptive décède soudainement et elle se fait draguer maladroitement mais gentiment par par le père d’un élève de sa classe. C’est alors que sa mère biologique, pétulante présentatrice de Talk-show débarque dans sa vie et souhaite en faire partie.

C’est une comédie gentille, qui se regarde en famille de manière inoffensive.