En fait, c’est pas Greenich, mais Greenwich. Mais grâce au métro qui parle, on a découvert que ça se disait « Greenich ».
Il y a une éternité de cela, puisque j’étais en 4e, je suis venue avec ma classe voir le méridien. Cette année, notre hôtel était juste à côté.
Au sujet de l’hôtel, c’était le Novotel de Greenwich. Très bien situé (à 2 pas du métro), délicieux petit dèj et bien sûr, enfant gratuit dans la chambre. 2 inconvénients : pas de Wifi gratuit dans la chambre et pas de clim. A Londres, on y pense pas, mais parfois, ça peut être nécessaire.
Autre bon point de l’hôtel : le service.
Nous avions besoin de nous rendre à l’aéroport de Gatwick. Les taxis noirs nous proposaient £140, après entente mutuelle entre eux, en anglais rapide, espérant qu’on ne comprenne pas. Les transports en commun, via Gatwick express qui part de Victoria Station nous le faisait à environ £60 pour 3.
Le responsable de la réception nous a appelé un taxi particulier qui nous a emmené pour £50.
Revenons au Méridien. A cette époque lointaine et bénie entre toutes, le méridien de Greenwich était gratuit. C’était-à-dire qu’on a pu faire les andouilles debout sur le méridien. Maintenant, l’Angleterre, sous quasiment toutes ses formes, est payante (à l’exception des musées nationaux).
Le méridien, matérialisé par une barre en bronze sur le sol, se trouve dans la cour du musée dont l’accès est payant.
Mais si on suit la ligne, on trouve un chemin, derrière une barrière ouverte avec un bout de méridien gratuit. (Je sais bien que le méridien court partout dans la campagne anglaise et pas que là. Le seul problème, c’est que, ailleurs, on ne le voit pas).
La vue depuis l’observatoire est sympa. Les champs, en bas, sont en train d’être préparé pour les JO. Le grand bâtiment, c’est le musée de la marine, gratuit, et plus convaincant que celui de Liverpool.