Netflix est arrivé. Nous avons donc aussitôt tourné le dos à Canal play, qui n’arrête pas de planter au point que parfois, on a renoncé à regarder la télé. On est passé à Netflix. On peut faire un match : catalogue contre catalogue, mais le premier avantage en tout cas, c’est que Netflix, c’est ergonomique et stable, tout ce que Canal play n’est pas, n’était pas en passe de devenir, se moquant éperdument de ses clients, rapport qu’ils étaient un peu tout seul sur leur créneau, sans être un service public.
Commencé péniblement sur Canal play et poursuivi sur Netflix :
Série : Luther (Saison 1 et 2) de Neil Cross avec Idris Alba
Film : Sin City : J’ai tué pour elle de Franck Miller avec Mickey Rourke, Jessica Alba, Eva Green, Josh Brolin, Bruce Willis
BD : La France en rose et bleu par Nawak
Luther de Neil Cross avec Idriss Alba et Ruth Wilson
Nous cherchions une nouvelle série à tester. Ce qui nous a attiré avec Luther, c’est que c’était des saisons courtes. moncler paris Les saisons en 22 épisodes avec un coup mou au milieu et ça traine, on en avait un peu assez.
Luther, c’est 3 saisons, 6, 4 et 4 épisodes.
John Luther est policier à Londres dans la section criminelle. puma 2018 shop Il s’est beaucoup investi dans la recherche d’un meurtrier d’enfants, jusqu’à ce qu’il le coince et permette que sa dernière victime soit sauvée… Mais il laisse tomber le meurtrier d’un échafaudage et sombre en dépression pendant que le meurtrier sombre dans le coma.
Lors de sa première affaire à son retour au travail, il rencontre une jeune femme surdouée dont les parents ont été abattus. Il comprend vite qu’elle est la meurtrière mais ne peut le prouver.
C’est une série dont le pilote ne m’a pas accroché du tout et a même failli me faire renoncer à la série. Ce pilote met les éléments en place mais ne donne pas vraiment le rythme des épisodes suivants. ugg outlet france Donc, ne pas se décourager.
Luther est un flic borderline, qui comprend très bien la psychologie des meurtriers et qui, au bout d’un moment, a juste envie de les enlever de la planète.
Les histoires sont construites comme les Colombo, on connait le meurtrier au début, l’intérêt est de voir comment Luther va être plus fort que lui. timberland chaussures Le fil rouge, c’est la jeune meurtrière, qui a découvert que Luther était le seul homme capable de la piéger mais aussi de la comprendre, de penser comme elle. Et bien sûr au bout d’un moment, Luther va bien comprendre qu’elle est la seule à vraiment le comprendre…
D’épisode en épisode, on visite Londres sous bien des angles, en poursuivant toute sorte de meurtriers en série.
Le plus de cette série, c’est la qualité des acteurs, Idris Alba et Ruth Wilson sont formidables, mais tous les seconds rôles sont également formidables.
Sin City : J’ai tué pour elle de Franck Miller avec Mickey Rourke, Jessica Alba, Eva Green, Josh Brolin, Bruce Willis
Tout l’intérêt de Sin City (du 1 comme du 2), c’est son environnement graphique. Baskets Puma Du noir et blanc dur, avec des éléments colorisés et des décors qui ressemblent fortement à de la BD.
L’histoire est assez décousue. soldes puma sneakers L’ambiance, c’est du polar noir, avec des hommes au bout du rouleau, qui ont grandi dans les bas quartiers et qui ne croient plus en rien. Des filles superbes qui essaient de survivre comme elles peuvent, souvent au moyen de leur corps, avec plus ou moins de classe.
Des beautés vénéneuses devant lesquelles ces hommes, qui tueraient de sang froid sans ciller, ne sont plus rien.
A cela on ajoute un peu de mise en scène à la « Kill Bill », du sang qui gicle (en blanc) des combattantes extraordinairement douées, des méchants au physique de méchant improbable, et pas d’espoir en ville, si ce n’est parfois, une certaine loyauté, encore entretenue par ceux et celles qui sont les maîtres de ces bas-fonds, bien plus moraux que la police ou les notables.
Honnêtement, on s’ennuie un peu dans Sin City, parce que l’ambiance en soit ne permet pas de nous occuper pendant presque deux heures. Mais c’est beau. Et la 3D aussi est belle… on a juste l’impression que les efforts du réalisateur s’essoufflent au bout d’une heure de film.
La France en rose et bleu par Nawak
Nawak fait du dessin de presse. bottes ugg Dernièrement, les délires de la manif pour tous l’ont pas mal fatigué.