thé du palais des thés
La saga de Youza de Youozas Baltouchis
Kro thé 2, la mission
A mon anniversaire, on m’a offert du thé… Vous savez déjà.
Il y a un thé spécial dont je n’avais pas encore parler. Il vient du Palais des thés. DIM SUM CHA Chaque année, pour fêter la nouvelle récolte du thé, les habitants des montagnes de Taiwan offrent aux personnes qu’elles aiment le Dim Sum Cha, littéralement : « Le thé qui vient du coeur ». Ce thé est préparé avec les premières feuilles de Bao Zhong, un thé semi-fermenté particulièrement réputé sur l’île, et des boutons de roses cueillis le jour même aux abords des maisons. Les feuilles de thé et les boutons de rose sont ensuite placés dans de petits paniers en bambou. Après quelques jours, les feuilles de thé fraîchement récoltées sur les hauteurs de l’île s’imprègnent du parfum subtil des boutons de rose.
Le Dim Sum Cha contient 50 g de thé et 50 g de boutons de rose. www.palaisdesthes.com
Ça, c’est le baratin, ensuite, ça se goûte.
Il a vraiment très bon goût. Et je confirme le parfum subtil de boutons de rose. Par ailleurs, la présentation en « cuit-vapeur » en bambou à 2 étages, un pour les boutons de rose et un pour le thé et très joli aussi.
La saga de Youza de Youozas Baltouchis
Alors, avant de vous parler de ce livre, faut que je vous parle d’Anne-Laure. Anne-Laure connaît des trucs pas possibles. Elle a le chic pour me dire : tu connais Dwigth Droughtwhoil ? Ou encore Zartosky Werforzovsky ? Et ben, non, quand je discute avec Anne-Laure, j’ai l’impression que je ne connais rien. Et en particulier en féminisme. Ou en polar. (ouf, je me rattrape sur la SF). C’est elle qui m’a fait connaître Dorothy Allison
(http://www.chiennesdegarde.org/article.php3?id_article=262) ou Anne Rambach (je vous en parle bientôt). Donc, là, elle me propose un romain lituanien. Forcément… c’est tentant. J’ai jamais lu de roman lituanien. C’est donc l’histoire de Youza, qui aime une femme qui s’est mariée à un autre. Alors, il quitte la maison familiale en laissant son frère et sa soeur et va habiter seul dans les marécages. Cette histoire, lente, rythmée par les saisons, racontant l’histoire quotidienne de la Litunanie peu après la guerre a ensorcellé des lectrices que je connais, probablement par la richesse de son vocabulaire, la façon de faire entrer dans le rythme des saisons et le quotidien… Je suis restée complètement en dehors. J’ai craqué après le premier tiers.
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