Kro éclectique

Restau : L’atelier Berger

Ciné : Spiderman II

Cuisine : Le levain

Meuble : le cartonnier


Restaurant : L’atelier Berger
49 Rue Berger
75001 PARIS
Tél : 01 40 28 00 00

Un restaurant tranquile et élégant dans lequel le service est stylé sans être omniprésent. Un vrai sommelier qui fait son show pour peu qu’on le prie (mais enfin, vous savez, moi, le vin…). (Le sommelier se visite, indiscutablement)
Une carte très orginale :
Un amuse-bouche qui change à chaque fois, puis :
Tartare de thon au gingembre
Saumon mi-cuit, gros sel et nems de soja et mangue
Dos de lieu grillé avec lentilles citronné et jus emulsionné
Gratin de penne et de homard
Soupe de fraise et rhubarbe au pain perdu
Pêche blanche pochée à l’ibiscus et glace au lait d’amandes
Et un dessert conseillé par une de nos lectrices intitulé :
« Qu’est-ce qu’elle te dit, la tomate ? »

Tout cela était vraiment excellent, à deux pas du Forum des Halles pour une bonne trentaine d’euros sans le vin, c’est plutôt un succès.
Lire une critique du restau

Film : Spiderman II

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Faut que je vous dise, Spiderman I, je n’étais pas fan. Je me suis même plutôt ennuyée pendant.
J’avais dit que je n’irai pas voir le II et finalement, j’ai trouvé la bande annonce accrocheuse, alors zou.
David et Leirnette ont aimé. Moi, franchement, moyen. Disons, j’ai passé un moment agréable, parfois amusant mais un peu long.
Je n’arrive pas à m’interesser aux états d’âmes de notre ami l’araignée : « je veux vivre la vie de Peter Parker mais Spiderman m’en empeche, je ne peux pas aimer la femme que j’aime parce que je la mets en danger. »
Plus une couche de « sagesse populaire de nos aîné-e-s » manquant pas mal de subtilité.
Sinon, globalement, c’est pas un mauvais film du tout, il y a de l’humour, par exemple, Peter qui lave son costume de spiderman en machine et s’aperçoit qu’il déteint. Ou encore, suite à quelques problèmes de génération de toile, on voit Spiderman dans l’ascenseur sous l’oeil ébahi d’un habitant de l’immeuble.
En plus, son histoire personnel avance par rapport au n°1. Pourtant, il reste que j’accroche pas vraiment. Ca doit être le personnage qui ne me parle pas.

Cuisine : Le levain
Il remplace la levure de boulanger dans la pâte à pain.
La recette : ici
Il y a une espèce de mystique qui se développe autour du levain. Dans un livre sur le pain, l’auteur nous apprend que le levain est une chose vivante, comme un animal à la maison. Un levain qui se développe bien est le signe d’une maison qui va bien. Ma soeur m’apprend que sur le forum aufeminin.com, on conseille de donner un nom à son levain !
Vu comment il fait chaud en ce moment, le levain est particulièrement vigoureux. Il faut le nourrir souvent et il bulle gaillardement en s’évadant du pot. Comme dit ma soeur, c’est un vrai tamagoshi ce truc : quand il sent le vinaigre faut le nourrir. Quand il bulle beaucoup, c’est le moment de faire du pain, faut le surveiller qu’il ne se sauve pas (comme chez nous la nuit dernière où il a failli attaquer notre invitée sur le canapé).
Là, le premier pain au levain est en cours. Je vous raconterai comment ça s’est passé et vous donnerai des nouvelles de Totor.
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Totor dans son pot

Le cartonnier
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En allant chez un brocanteur avec ma soeur, j’ai découvert l’existence des cartonnier. C’est un meuble d’avocat ou de notaire, qui est constitué de tiroir/boite en carton de luxe solide et qui comporte un petit rabat sur le côté muni d’une clé pour maintenir les cartons en place.
Et c’est l’enfer à restaurer parce que les carton sur mesure, c’est cher.
Bon, personnellement, je sais à peine par qeul bout se tient un pinceau.
Mais le cartonnier à restaurer, ça m’a bien plu.

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