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Babel de Alejandro González Inárritu avec Brad Pitt et Kate Blanchett

Pirates des Caraïbes : jusqu’au bout du monde

Un thé avec Mussolini de Franco Zeffirelli, avec Cher et Judi Dench

Les aventures des demandeurs d’emploi


Babel de Alejandro González Inárritu avec Brad Pitt et Kate Blanchett

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Babel, c’est 4 histoires, dans 4 pays différents. 4 histoires liées entre elles, non seulement par les personnages, mais aussi par l’isolement et le malheur qui vont les frapper.

Tout d’abord, le désert marocain. Un couple américain en pleine crise tente de prendre des vacances. Dans ce même désert, un père confie à ses fils, gardiens de chèvres, un fusil pour tuer les chacals. L’aîné et le cadet se lance des défis idiots et tirent sur un bus de touristes touchant gravement l’américaine.

Pendant ce temps, à San Diego, les 2 enfants du couple sont gardés par leur nounou mexicaine. L’absence des parents en vacances au Maroc tombe pendant le mariage de son fils. Elle décide d’y aller quand même, emmenant les enfants avec elle. Et à l’autre bout du monde, une jeune japonaise sourde et muette se rebelle contre son père et le suicide de sa mère.

C’est un film qui manque un peu de rythme, mais on se laisse prendre à ces 3 histoires qui tournent si mal alors qu’à l’origine, il y avait presque rien : une balle tirée par jeu par 2 gamins inconscients. Un peu lent, certes, mais un bon film.

Pirates des Caraïbes : jusqu’au bout du monde


Le tome 3 du film de Pirates, où Johnny Depp a l’intelligence de jouer un pirate pas viril du tout, plutôt à l’ouest et plein de charme. Keira Kneitley dans le rôle d’Elisabeth Swann prend un peu d’épaisseur grâce à son rôle plus important. Et Geoffrey Rush qui joue Barbossa a un vrai rôle sympa. Je reste peu convaincue par le gentil Orlando Bloom, plus à l’aise en elfe, décidément, qu’en pirate.

Le tome 2 de cette série faisait vraiment cartoon, au point que je trouvais ça lourd. Ici, on a un mélange de tout. D’abord, on se moque éperdument du scénario. Les gens se trahissent et se contre trahissent sans le moindre souci de cohérence ou de clarté. Certains dialogues tombent même parfois de la lune.

Mais peu importe. On est là pour des péripéties rocambolesques alors, allons y. Il y a parfois des vrais moments loufoques inventifs, en particulier dans le royaume de Davy Jones, avec des crabes, des hauts et des bas, vous comprendrez en voyant le film.

Finalement, j’ai passé un meilleur moment que pour le tome 2, mais un moment tout de même un peu long.

Un thé avec Mussolini de Franco Zeffirelli, avec Cher et Judi Dench

Cher, je pense que vous voyez qui c’est. Judi Dench, c’est d’une part, une grande artiste shakespearienne et aussi M dans James Bond.

Zeffirelli nous raconte dans ce film une histoire débutant en 1935, en Italie, inspiré de sa biographie et émaillé d’anecdotes réelles.

Lucas est un enfant naturel et encombrant, son père le rangerait bien à l’orphelinat mais sa secrétaire, une vieille dame anglaise le prend en pitié et s’occupe de lui. Toute la communauté des vieilles dames britanniques, menée par Lady Hester (son défunt mari était ambassadeur) va s’en occuper. 2 anciennes amies de sa mère gravitent aussi autour des Britanniques : une américaine lesbienne et archéologue et une riche héritière américaine que Lady Hester trouve vulgaire. Pendant ce temps, le fascisme monte. Mais Lady Hester est reçu par Mussolini qui lui assure que la communauté britannique n’a rien à craindre. Ces dames ont d’ailleurs beaucoup d’admiration pour lui.

Avec ces vieilles dames, on sent que c’est une époque qui s’achève dans la tragédie de la IIe guerre. Un film suranné, comme ces Ladies, mais plein de charme et sympathique.

Les aventures des demandeurs d’emploi

Je suis repartie dans un cycle (court, je l’espère) d’ASSEDIC et ANPE. Les choses ont bien sûr changé depuis la dernière fois, comme toujours. Mais il y a des améliorations, comme l’inscription en ligne. Ensuite, tout n’est pas au point car ce qu’on remplit en ligne n’est pas vraiment transmis à l’Assedic, et la procédure ne marche pas tout à fait. Mais c’est déjà un mieux.

En outre, je suis convaincue que l’ANPE n’a pas conscience de faire de l’humour. J’ai rempli le Dossier Unique de Demande d’Emploi. Abrégé Le DUDE.

Qui n’a pas vu The big Lebowsky jette la première pierre.

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