Kro

Les résultats du Quizz

Raison d’état de Robert de Niro avec Matt Damon, William Hurt, Angelina Jolie et Robert de Niro

Weeds : saison II

Great Lies to Tell Small Kids de Andy Riley


Tout d’abord : voici les résultats du Quizz.

Ce n’était pas un marque page, ni un cale-livre, ni une pince à nappe.
Ce n’était pas un crochet pour maintenir à l’écart des rodeurs le gros paquet de Maltesers qu’on va broyer pour mettre dans un smoothie glacé au chocolat blanc…
Ce n’était pas un entrave-flanc, pour éviter que les vaches ne donnent des coups de pied pendant la traite (bon, faut aussi que la vache soit assez gentille quand même, malgré les coups de pieds…).
La personne a ajouté : « Toutefois, je pense que l’extrémité supérieure discoïdale ne doit pas très bien tenir sur le dos.
Et, bien qu’il n’y ait pas d’échelle, j’ai l’impression que c’est plutôt destiné à des bovins de particulièrement petit format… »
Et enfin, ce n’était pas un rétroviseur à livre, ni un agitateur à smoothies, ni un crochet à cravates pour suspendre ses cravates dans sa penderie avec élégance, ni un gratte-dos, ni un gratte-nez.

La réponse se trouve ici dans les commentaires de la Kro. C’est un accroche-sac.

Merci de votre participation.

Raison d’état de Robert de Niro avec Matt Damon, William Hurt, Angelina Jolie et Robert de Niro

Affiche américaine
© Universal Pictures Galerie complète sur AlloCiné

Nous sommes pendant l’un des moments les plus chauds de la guerre froide: le désastre américain de la Baie des Cochons à Cuba. Il semble évidement que les Russes étaient au courant du lieu du débarquement et qu’ils ont prévenu Cuba. Cela signifie qu’il y a une taupe à la CIA. Edward Wilson, chef du contre-espionnage, se retrouve isolé au sein de son agence. Il doit trouver rapidement le traitre. Cette crise l’amène à se souvenir comment il a été recruté, jeune étudiant brillant, dans Skull and Bones, société secrète de Yale pour ensuite se retrouver pendant la guerre au tout début de ce qui allait devenir la CIA.

Raison d’état est un titre pitoyablement banal : on a l’impression qu’on a déjà des dizaines de films de complot mondial / espionnage qui portaient ce titre. Pourtant, ce film est loin d’être banal. Enfin un film qui ne prend pas le spectateur pour un idiot : un vrai film d’espionnage, plus proche de John Le Carré que de James Bond, au scénario tortueux, tellement tortueux qu’on en a parlé encore des heures après avec Lotin, pour en débrouiller toutes les chausse-trappes. (L’autre problème c’est que tous les espions sont en pardessus et chapeau et que j’ai un peu de mal à les distinguer, mais ça, c’est moi).

Matt Damon
© Studio Canal Galerie complète sur AlloCiné

J’ai toujours trouvé que Matt Damon manquait un peu de personnalité. Dans ce film, c’est un atout. Le personnage qu’il incarne, Edward Wilson est insignifiant, sans charisme, parle très peu et est dépourvu d’humour. Le genre de gars qu’on oublie tout de suite, tellement il est fade et ennuyeux. C’est un atout dans ce métier. On verra comment, pour l’honneur du pays, il va sacrifier sa vie privée et se couper de plus en plus de ses proches.

C’est un film long et lent (2h47) dans lequel nous ne nous sommes pas ennuyés. Par ailleurs, la façon qu’a Robert de Niro de filmer certains plans, tout en très gros plans qui s’enchainent, ne laisse pas indifférent.

Nous conseillons sans réserve.

Weeds : saison II

Weeds, c’est l’histoire d’une mère de famille qui vend de l’herbe dans une banlieue chic afin de subvenir aux besoins de sa famille, après le décès de son mari. Dans cette saison, elle passe à la vitesse supérieure : elle cultive.

On retrouve les mêmes personnages que dans la saison précédente : ses fils, un ado et un pré-ado pas très facile à élever, son beau-frère, absolument pas fiable, grand amateur d’herbe, qui va tenter de devenir rabbin pour ne pas partir en Irak, Conrad, le jeune noir qui a le secret pour faire pousser les meilleurs plans de cannabis, etc. A cela s’ajoute un séduisant père de famille divorcé qui devient son amant… et qui est malheureusement agent des stups.

Une saison qui ronronne un peu. On les personnages ont l’air de tourner en vase clos ce qui leur faire perdre de l’épaisseur. Ça se regarde, mais sans plus.

Great Lies to Tell Small Kids de Andy Riley

Andy Riley est l’auteur du livre des lapins suicide.

C’est une compilation illustrée des meilleurs mensonges à dire aux enfants comme :

There’s no such thing as kangaroos, they’re just mice standing very near.
Policemen grow from helmets in a single night.
Its unlucky not to name every ant you see for your whole life.
Ou encore : 1 poisson sur 10 a peur de l’eau.

Certains sont vraiment très drôles.

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