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Rocroi et les fortifications Vauban

Sunshine de Danny Boyle

Les Soprano – Saison 1, créée par David Chase avec James Gandolfini

Rocroi et les fortifications Vauban

En CM2, on fait Louis XIV et ses ministres, et en particulier Vauban qui a changé la topographie de quelques régions de France.

Je me doute que vous n’avez pas souvent l’occasion de vous rendre à Rocroi, alors, grâce à ce blog, vous allez pouvoir visiter le fond des Ardennes.

L’hôtel de ville de Rocroi

L’Eglise de Rocroi

Et Rocroi, vue d’en haut…

Sunshine de Danny Boyle

© Collection Christophe L.	Galerie complète sur AlloCiné

Nous sommes en 2057. La fin de l’humanité est proche car le soleil s’éteint. Le dernier espoir, c’est le vaisseau Icarus qui a pour mission de larguer dans le soleil des bombes successible de le rallumer. A son bord, 7 hommes et femmes pour mener à bien la mission. En route, ils captent le signal de détresse de Icarus I, le premier vaisseau de sauvetage, disparu sans nouvelle. En voulant l’approcher, ils endommagent leur vaisseau. Ils doivent alors lutter à la fois pour vivre mais aussi pour mener leur mission à bien.

Soyons claire : c’est un film raté. Il y avait du bon dedans, par exemple ce vaisseau bardé de déflecteurs pour pouvoir approcher le soleil. Il y a aussi de très belles vues du soleil qui devient une sorte de personnage centrale de l’histoire.

Ensuite, la glissade vers la folie des membres d’équipage, le danger, le mystère, tout cela est monté avec beaucoup de mollesse, on a vraiment du mal à s’intéresser à la mission. Par moment, l’emballage scientifique est franchement bâclé, on se dit que ce ne serait pas si difficile de trouver un conseiller physicien qui pourrait gommer les boulettes les plus grosses.

Finalement, on se dit que le scénariste avait un départ de scénario et une envie de faire des vues du soleil. Ça ne fait pas un film. Pourtant, Danny Boyle, c’est quand même l’auteur de Trainspotting ou de Petits meurtres entre amis, et aussi de ce fameux film de vampires morts-vivants cannibales, 28 jours plus tard (qui malgré les apparences, dit comme ça, n’est pas si mal). Sunshine est joli par moment mais plutôt à éviter.

Les Soprano – Saison 1, créée par David Chase avec James Gandolfini

© Jimmy
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Tony Soprano est Capo dans la mafia de New York. Il a une épouse, une fille adolescente et un garçon pré ado. Globalement, les affaires fonctionnent bien pour lui, il s’entend bien avec le parrain, il est respecté, il a de l’argent… Pourtant, il a des crises d’angoisse qui le mènent à l’évanouissement. Il faut dire que son mariage ne va pas très bien, que sa mère est insupportable, qu’il a des soucis avec les jeunes recrues et que ses enfants commencent à se douter qu’il n’est pas seulement le responsable d’une société de ramassage d’ordures. Finalement, il se décide à pousser la porte d’une psychanalyste à qui il va confier ses problèmes.

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Les Soprano est une série créée en 1999 qui en est à sa 6^e saison. C’est un peu difficile d’y entrer, c’est pour cela aussi que j’étais passée à côté au moment de sa diffusion. La série repose largement sur les épaules de Tony Soprano, attachant par bien des côtés, mais incontestablement truand, n’hésitant pas à abattre de sang froid ses opposants ou à tabasser ceux qui lui doivent de l’argent. C’est une série dont le ton par certains côtés me fait penser à 6’ under : un rythme lent, un peu d’humour mais particulier (l’humour mafieux peut valoir l’humour croque-mort). La premier saison est courte (13 épisodes) et permet en fait tout juste de s’attacher aux personnages. Néanmoins, elle se termine avec autant de soucis pour Tony Soprano qu’elle n’a commencé (c’est juste pas les mêmes…) et donne envie de voir la suite.