Kro de spécialistes

Il était une fois, avec Susan Sarandon

Hoshi Saga

99 rooms

Photos du cimetière de Saint-Etienne

 

 

Il était une fois, avec Amy Adams, Patrick Dempsey, James Marsden et Susan Sarandon

Susan Sarandon
© Walt Disney Studios Motion Pictures France Galerie complète sur AlloCiné

 

Pour le « Disney de noël », Disney tente l’autoparodie… le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il y a matière, le projet à l’air sympa.

Tout commence comme dans Blanche-Neige (sauf que c’est de l’image de synthèse qui imite le dessin classique)…Une jolie paysanne rêve du Prince Charmant et autour d’elle, les petits animaux de la forêt discutent et chantent avec elle. Elle l’a vu en rêve et elle est sûre qu’au premier regard, ce sera l’amour pour toujours. Le Prince Charmant est non loin, mais sa belle-mère s’évertue à le garder occupé (par exemple à la chasse aux trolls) pour qu’il ne rencontre surtout pas sa princesse. Elle ne veut pas qu’il la mette sur le trône à la place. Seulement, voilà qu’il l’entend chanter la chanson du baiser du prince charmant, il l’a découvre, la sauve d’un horrible troll et la ramène au château pour l’épouser séance tenante.

Mais la méchante reine ne l’entend pas de cette oreille. Elle précipite Gisèle (mais pourquoi ce nom ?), la jeune princesse dans un monde bizarre et hostile : New York 2007.

 
© Walt Disney Studios Motion Pictures France Galerie complète sur AlloCiné

Elle est recueillie par un avocat spécialisé en divorce, père d’une petite fille, et qui se demande de quelle planète tombe une fille aussi naïve et inadaptée au monde.

Quant au Prince Charmant, il saute aussitôt dans le puits au secours de sa belle et atterrit lui aussi à New York.

 
© Walt Disney Studios Motion Pictures France Galerie complète sur AlloCiné

Pratiquement tous les ressorts comiques de cette histoire tournent sur les quiproquos et décalages entre le monde des contes de fées de Disney et le monde réel. Je précise bien de Disney, parce que si vous lisez les Contes de Grimm ou d’Andersen (Les souliers rouges ? La petite fille aux allumettes ?), vous rendrez compte que finalement, New York, c’est pas si mal. Mais dans ce film, contes de fée est synonyme de contes Disney…

Un certains nombre de scènes font vraiment rire. Le Prince Charmant joue son rôle de grand niais avec brio, il est bien plus convaincant que le gentil avocat perturbé par l’arrivée dans sa vie d’une vraie princesse.

Comme dans les dessins animés, la Princesse se met spontanément à chanter dans un parc pour exprimer son amour pour le Prince, elle convoque les animaux de New York pour faire le ménage dans l’appartement de l’avocat célibataire et donc bordélique… Sauf que les animaux de New York, ce n’est pas les animaux de la forêt, je vous laisse deviner. La fin est prévisible mais ses modalités ont l’avantage de prendre les contes à contre-pied.

Il y a de vrais moments de folie dans ce film (figurez-vous que les portables captent super bien dans le château du Prince.). Des moment improbable, comme la princesse qui tombe en admiration devant un livre sur les femmes d’exception (Marie Curie…) ou le prince charmant qui tombe en fascination à la télé devant un soap du type les feux de l’amour. Pour autant, la parodie n’est pas menée au bout… les chansons Disney sur l’amour, même chantée à Central Park avec des danseurs de hip hop, ça reste chiant. Gisèle, à force de courir partout les yeux écarquillés, tape un peu sur les nerfs.

Au final, un film très inégal, où on rit et on attend que ça se passe.

Hoshi saga

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C’est un jeu en ligne que vous trouverez facilement en tapant son nom, il est hébergé en de multiples endroits et il existe une V1 et une V2.

Le but de ce jeu est de parcourir différents tableaux pour y trouver une étoile. Les tableaux ont un graphisme tout simple, en noir et blanc. L’esthétisme de ces tableaux est pour une grande part pour l’intérêt du jeu.

Alors, comment la trouver cette étoile ? Eh bien tout est là. Parfois, il faut pousser, parfois, il faut cliquer, parfois on tourne une manivelle, et parfois on cherche une zone invisible à percer… J’ai suffisamment accroché pour finir Hoshi 1, même si j’ai calée dans le 2e. Allez voir, c’est très sympa.

99 rooms

Certains points communs avec Hoshi

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C’est un projet artistique dans lequel on vous propose de visiter 99 photos prises dans un lieu qui ressemble à une usine désaffectée. Sur les murs, des monstres s’animent parfois. Chaque photo a un indice pour passer à la suivante. Ce n’est pas très dur à trouver, souvent un interrupteur à basculer, chaque image à un détail qui s’anime. L’ambiance est terne et parfois morbide, mais beaucoup des photos sont fascinantes, pour peu qu’on aime les photos industrielles. J’ai parcouru les 99 pièces. Ça prend un peu de temps, mais le projet est très séduisant.

Photos

J’ai un copain qui a profité d’une première neige pour aller faire des photos dans un cimetière de type « Père Lachaise »à Saint Etienne. Les batteries ont rendu l’âge pour cause de froid ! mais avant que cela n’arrive…


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